Tuesday, July 31, 2007

Raul Castro préside le concert organisé en hommage à Frank Pais

Santiago de Cuba (RHC)--. Le général d'armée Raul Castro, premier vice-président cubain, a présidé le concert organisé à Santiago de Cuba à l'occasion du 50e anniversaire de l'assassinat de Frank Pais, un des principaux dirigeants du mouvement 26 juillet dans la clandestinité.
Frank Fernandez, pianiste cubain de renommée mondiale, a joué au piano non seulement des œuvres cubaines dont une bonne partie composées par lui mais encore des œuvres de grands musiciens du monde.
A la fin du spectacle, le général Raul Castro s'est adressé au public réuni au théâtre Dolores qui était jadis une école primaire. Raul a partagé avec le public plusieurs passages de son enfance dans cette école et exprimé sa satisfaction de se trouver de nouveau dans cette ville, la seconde de Cuba.
Plusieurs membres du Bureau Politique du Parti dont Misael Enamorado, premier secrétaire du Parti à Santiago de Cuba, des intellectuels et des combattants de l'armée rebelle et du mouvement 26 juillet se trouvaient dans la salle.
100 000 Santiaguais sont attendus aux hommages organisés pour le 50e anniversaire de l'assassinat de Frank Pais
Santiago de Cuba, 30 juillet, (RHC)--. Plus de 100 000 personnes se sont donné rendez-vous sur la Place Cespedes, en plein centre de Santiago de Cuba, pour rendre hommage à Frank Pais, dirigeant du mouvement 26 juillet dans cette ville, assassiné par les sbires de Batista, le 30 juillet 1957.
Les hommages commenceront simultanément au 451 de la rue Heredia où les Santiaguais ont alors rendu hommage à la dépouille mortelle du dirigeant révolutionnaire et à son compagnon de lutte Raul Pujols, dans une ancienne ferme espagnole dans la banlieue de la ville.
Frank Pais et son compagnon de lutte ont été assassinés dans une impasse de Santiago à la suite d'une délation.
Après le rassemblement sur la Place Cespedes, les manifestants ont décidé de suivre l'itinéraire emprunté alors par le cortège funèbre jusqu'au cimetière Santa Ifigenia.
Les rues de Santiago sont ornées de drapeaux cubains et du drapeau rouge et noir du mouvement 26 juillet.
A cette occasion, la maison natale de Frank Pais a rouvert ses portes au public après des travaux de réfection de l'immeuble déclaré monument national.

Le recteur de l'Ecole Latino-américaine de Médecine souligne les valeurs du programme cubain de coopération dans le domaine de la santé
(RHC)--. Le Dr Juan Carrizo Estevez, recteur de l'Ecole Latino-américaine des Sciences Médicales de La Havane, a mis l'accent sur les valeurs éthiques, solidaires et internationalistes du programme intégral de coopération dans le domaine de la santé mis en place par le gouvernement révolutionnaire.
Dans des déclarations à la presse, le Dr Carrizo a rappelé que cette faculté de médecine a ouvert ses portes en 1999 dans le cadre du programme lancé peu après le passage du cyclone Mitch qui a fauché des milliers de vies humaines en Amérique Centrale.
Il a expliqué que le grand but de cette école de médecine est de former de jeunes issus de familles pauvres devant prêter leurs services dans leur communauté d'origine ou dans des endroits reculés de leur pays.
Il a souligné que les valeurs humaines, éthiques, solidaires et internationalistes des étudiants et des diplômés sont parmi les réussites de ce programme.
Le Dr Carrizo a expliqué que l'Ecole Latino-américaine des Sciences Médicales de La Havane a d'ores et déjà formé 3 204 jeunes de 28 pays.
Les 508 professeurs de cette faculté donnent les cours de base et les étudiants sont ensuite distribués dans les 21 facultés de médecine du pays.

Plus de 8000 panneaux photovoltaïques sont installés à Cuba
Guantanamo (RHC)--. Plus de 8000 panneaux photovoltaïques sont aujourd'hui installés dans tout Cuba.
René Diaz, ingénieur à ECOSOL solaire, une firme spécialisée dans la construction et montage de ces panneaux solaires, a précisé dans des déclarations à l'agence nationale de presse que dans leur ensemble, ils représentent quelque 3 mégawatts et font tourner les téléviseurs, les magnétoscopes et les ordinateurs de 2 631 écoles installées surtout dans les montagnes des provinces de Santiago de Cuba, de Guantanamo et de Granma.
1 882 salles de vidéo, 460 maisons cabinets de consultation du médecin de la famille et 275 maisons qui ne sont pas branchés au réseau électrique national, bénéficient également de panneaux solaires.
ECOSOL solaire a également conçu, produit et installé des panneaux solaires faisant tourner un millier d'écoles, des cabinets de consultation, des stations d'épuration et de pompage d'eau au Venezuela.
Cette entreprise cubaine produit également des panneaux solaires pour la Bolivie, le Mali, l'Afrique du Sud et le Honduras


QUINTA REFLEXIÓN SOBRE LOS PANAMERICANOSA pesar de todohttp://www.cubamigos.be/nl/node/512,

THE FIFTH REFLECTION ON THE PAN AMERICAN GAMESIn Spite of Everythinghttp://www.cubamigos.be/nl/node/513,

Malgré tout Cinquièmes réflexions sur les Jeux Panaméricains 30 juillet 2007http://www.cubamigos.be/nl/node/511,

La transición en Cuba transcurre con tranquilidad, sin embargo el autor alemán Volker Skierka exhorta a europeos y latinoamericanos a que ayuden a La Habana a salir del aislamiento.http://www.dw-world.de/dw/article/0,2144,2712712,00.html,


Persiste la sombra de CastroEl Nuevo Herald - EL GENERAL Raúl Castro ha asumido las riendas del país sumido en el caos económico. Raúl Castro ha vivido la mayor parte de su vida unos pasos detrás de su hermano Fidel. Lo siguió en las batallas en las montañas contra la dictadura de Fulgencio ...Cuba, un año con Fidel en la sombra ABCFidel Castro sigue en la batalla Adelante CubaMilenio - La Prensa (Panamá) - Unión Radio - La Nueva Españay 561 artículos relacionados » http://news.google.co.ve/news?ned=es_cu&ncl=1155323411&hl=es,


Encendemos esta llama en homenaje al aniversario 50 de la caída de Frank,
y en honor a los que como él integran la infinita galería de nuestros héroes y mártiresPalabras pronunciadas por el Primer Vicepresidente de los Consejos de Estado y de Ministros, General de Ejército Raúl Castro Ruz, en el acto central con motivo del aniversario 50 de la caída de Frank País y Día de los Mártires de la Revolución, en el cementerio Santa Ifigenia de la ciudad de Santiago de Cuba, el 30 de julio del 2007, "Año 49 de la Revolución".http://www.granma.cubaweb.cu/2007/07/31/nacional/artic02.html,

SCSU profs gather news in Cuba

Maria Garriga, Register StaffNEW HAVEN — A pair of professors at Southern Connecticut State University traveled to Cuba recently, seeking clues to the future of press freedoms in Venezuela. The U.S. government officially bans Americans from going to Cuba under most circumstances, but Leon Yacher, a geography professor, and Joseph Manzella, chairman of the anthropology department, have licenses from the federal Department of Treasury to do research in Cuba."We are looking for the influence of the Cuban model on the Venezuelan media," said Manzella, author of "The Struggle to Revitalize America’s Newspapers." They had last visited the island in 1993. Cuba, a nation of 11.3 million, has been under the rule of Fidel Castro and his brother Raul since 1959, when the two led a revolution that ousted Fulgencio Batista, a U.S.-backed dictator. The Castro brothers subsequently imposed a socialist regime and assumed total control of the nation’s press.The professors said they were fascinated by the Cubans’ extensive knowledge of current events in the United States.Cuba’s international version of Granma, its leading newspaper, loaded its front page recently with stories that referred to or focused on the United States. The top story had Raul Castro declaring his willingness for dialogue with the United States, which was followed by a story analyzing potential nominees for the U.S. presidential primaries in 2008.The Cubans also expressed concern about the anti-immigration backlash in the United States and a great admiration for Al Gore. Gore’s 2006 documentary on global warming, "An Inconvenient Truth," was broadcast several times during their trip, they said.The two also were able to interview Cuban media officials, including a four-hour interview with a senior editor at Communist Party-controlled Granma.While the United States’ broadcasts do make it to Cuba, the Cuban media filter the news reports to reflect what the government wants people to see, Manzella said.Both said they were struck by the accuracy of the Cuban media, which often broadcast excerpts from American media reports. "Think of the Cuban media as a well-informed version of Fox News," Manzella said."They don’t lie. They just don’t tell you the other side of the story," Yacher said.Cuba is ranked as one of the most repressive countries in the world toward press freedom by several journalism organizations. The island nation could be the blueprint used by Hugo Chavez as he continues to consolidate power in Venezuela, they said. While most media attention focused on the Venezuelan government’s recent refusal to renew the broadcast license of a television station critical of the Chavez administration, few noted that several newspapers had already been closed down by the government in Venezuela’s rural provinces."Chavez has publicly called Castro his father. The Venezuelans have no idea in five years that you will have a Venezuelan model of Cuba," Yacher said.Yacher spent more than three weeks in Cuba, Manzella five days. They plan to include their research in a book about international press freedom with the tentative title, "Eyes on the World," which compare conditions in Indonesia, South Africa, Venezuela and Kyrgyzstan (an Asian nation wedged between Kazakhstan and China.)



Time is not on his side
By Marifeli Pérez-Stable
He hasn't been seen live in a year. Alas, he did not emerge at the May 1st parade at Revolution Plaza as rumored. Rumors didn't even fly regarding this past July 26 (anniversary of the attack on Moncada Barracks in 1953) and the day before all suspense ended. Raúl Castro -interim president- would preside over the official event in Camagüey.
Fidel Castro, nonetheless, has not been absent. We've seen him on videos and, since late March, in his new career as a columnist. Thus far, more than 30 of his reflections have seen the light of day. Two videos -one in April, the other in June- were of special interest.
In April, video footage without audio -Castro with Wu Guanzheng, a member of the Chinese Communist Party's politburo- was broadcast in China and the rest of the world, but not in Cuba. Cubans saw only photographs of the meeting.
In early June, Nong Duc Mahn -secretary general of the Vietnamese Communist Party- visited Cuba and met with the Comandante. Subsequently, Cuban television showed a so-called interview of 50 minutes with him on June 5. Silent on China, Castro sang Vietnam's praises enthusiastically, though without attributing its progress to market reforms.
With each passing day, the Comandante's return to power becomes more unlikely. We are, indeed, approaching the end of an era. The transfer of power to his brother Raúl has not affected the stability of the regime, as the successor government has risen to the occasion. Evidently, the bar is low due to terrible material shortages, an abysmal lack of freedoms and the leadership's refusal to submit their rule to the will of the citizenry they claim to represent.
Nevertheless, there have been glimmers of positive changes, should they ever come to fruition. The economy -a subject that thanks to Fidelista obstinacy had practically become taboo- has returned to the public eye, even if the proverbial market-opening bull has not been grabbed by the horns. On July 26, Raúl issued a strong criticism of economic performance and hinted some changes were coming.
On three occasions, Raúl Castro has urged the United States to engage in dialogue with Cuba. Twice he did so on dates heavy with symbolism -December 2 when the Granma's landing in 1956 is commemorated and this past July 26. ¿Posturing knowing full well that George W. Bush's Washington won't respond or a genuine urging? I'd say a bit of both.
The Cuban elite faces two central dilemmas. How long will the Comandante -physically or mentally- be among them? Should he not soon depart in one form or another, could Raúl and his generals convince him -as they did in the early 1990s when modest reforms were carried out only to be later suspended by Castro- to give his definitive approval in order to resume and deepen them? Undoubtedly, the economy is the primary front of popular expectation in Cuba and if the anti-market stubbornness persists, the terrible scenario of a social explosion could materialize.
Like Pope Benedict XVI, Raúl Castro is a short-term leader. The pope has yet to shake up the Church for good and probably won't. Still, the Vatican possesses millennial experiences and can tolerate a long interim delay. The Comandante's successors, however, cannot afford the same luxury.
Marifeli Pérez-Stable is vice president for democratic governance at the Inter-American Dialogue in Washington, DC.


Encuentro en Venezuela promoverá el ALBA frente al "capitalismo destructor"

(EFE).- La "VI Cumbre Social por la Unión Latinoamericana y Caribeña", que se inaugura martes, en Caracas, busca ofrecer alternativas al neoliberalismo e impulsar una mayor cooperación entre las regiones del sur.

Así lo indico hoy el diputado venezolano Filinto Durán, en una rueda de prensa de presentación del encuentro, en la sede del Parlamento Latinoamericano en Caracas.

"Se propondrá la Alternativa Bolivariana de las Américas (ALBA) frente al capitalismo destructor, un nuevo contrato social, económico y cultural, y fomentar e impulsar las relaciones Sur-Sur", manifestó Durán.

El ALBA es una alianza creada por el presidente venezolano, Hugo Chávez, para contrarrestar el intento de Estados Unidos de formar el Área de Libre Comercio de las Américas (ALCA), y de ella también forman parte Bolivia, Cuba y Nicaragua.

"Nuestro modelo no es la democracia de sufragio, sino la democracia participativa en la que el Estado es construido desde abajo, desde el pueblo", señaló Durán, presidente de la Comisión de Asuntos Económicos, Deuda Social y Desarrollo Regional del Parlamento regional.

En opinión del diputado, "Venezuela, en este sentido, puede ser ejemplo para el mundo" y puso como modelo "la explosión del poder comunal que promueve el presidente Hugo Chávez".

De acuerdo a la nota de prensa facilitada a los periodistas, la "Cumbre Social" parte de "la convicción de que el sistema capitalista es responsable de la pobreza, marginalidad y la exclusión social en el planeta".

"Queremos recuperar los derechos sociales, económicos, culturales secuestrados por el capitalismo, y con ello dignificar a los pueblos de América", destacó Durán en la rueda de prensa.

El encuentro, que será inaugurado mañana 31 de julio y clausurado el 4 de agosto, contará con la presencia de 110 ponentes internacionales, que participarán en los 30 foros de debate que componen el programa de la VI Cumbre.

El presidente Chávez realizará la instalación de la reunión en un acto formal mañana por la tarde en el Teatro Teresa Carreño de la capital venezolana.

Entre los asistentes, personalidades políticas e intelectuales, están la mayoría de los ministros venezolanos; Ricardo Alarcón, presidente de la Asamblea Nacional de Cuba; Marco Aurelio García, asesor del presidente brasileño Luiz Inácio Lula da Silva, y la viuda del ex presidente francés Francois Mitterrand, Danielle Mitterrand.

Las anteriores ediciones de la Cumbre, cuyo primer encuentro se realizó en 2001, tuvieron todas a Venezuela como escenario, y contribuyeron a la propuesta de una "Carta Social de las Américas", según el comunicado de los organizadores del foro.


Los marxistas y la revolución venezolana http://www.rebelion.org/noticia.php?id=54310,

Políticas de Castoriadis http://www.rebelion.org/noticia.php?id=54345,

El 'socialismo del s. XXI' de Heinz Dieterich: ¿un manifiesto comunista contemporáneo? http://www.rebelion.org/noticia.php?id=54346,

Entrevista con Alexis Ponce, portavoz de la Asociación pro Derechos Humanos de Ecuador:Hay una impresionante maquinaria editorial que repite igual matriz contra Correa, Morales, Kirchner, Ortega, Chávez, Lula y Fidel http://www.rebelion.org/noticia.php?id=54348,

La expresión del amor subversivo de la revolución cubana http://www.rebelion.org/noticia.php?id=54325,


HISTORIA CUBANA: CHÉ: ¿SÓLO UN ARTISTA DE LA GUERRA DE GUERRILLAS? POR FRANCISCO FORTEZA (WORLD DATA SERVICE).- El argentino-cubano Ernesto "Ché" Guevara es identificado frecuentemente como "Guerrillero Heroico", y se le vincula erróneamente sólo con esa faceta de su quehacer. En realidad, opina María del Carmen Ariet, coordinadora científica del Centro de Estudios Ernesto "Ché" Guevara, de La Habana, el legado del revolucionario abarca múltiples aristas, teóricas y prácticas y se afianza a 40 años de su asesinato. Ariet, quien formó parte del equipo multidisciplinario cuyas labores llevaron al descubrimiento de los restos del Ché y casi todos los miembros de su guerrilla en Bolivia, afirma que hay una íntima interrelación entre el argentino y Cuba. "Su leyenda comenzó en Cuba y se la ganó con su coraje y bravura y sus contribuciones a la lucha revolucionaria" un legado que debe examinarse desde que se unió en México a la vanguardia encabezada por Fidel Castro, indicó la socióloga. Ariet recordó que las luchas centenarias revolucionarias cubanas siempre han contado con la participación de combatientes extranjeros, cuyas figuras principales son Máximo Gómez y Ernesto Guevara. El dominicano Gómez estuvo presente en las tres décadas de luchas por la independencia de España, en el siglo XIX y ganó los grados de Generalísimo del Ejército Libertador. El argentino Ernesto Guevara se sumó a los expedicionarios del Granma, fue la segunda persona con los grados de Comandante en el Ejército Rebelde, y con Camilo Cienfuegos repitió la Invasión de oriente a occidente. Luego, cumplió las más diversas tareas para la revolución en el poder, en la defensa, la economía y la formación de una nueva idiosincrasia a partir de que "la juventud es la arcilla fundamental de nuestra obra". De tal forma, se consolidó el mito que había empezado en la Sierra Maestra y continuado en las montañas del centro de la isla y la batalla de Santa Clara, decisiva en la victoria revolucionaria. Su carisma y amplia cultura contribuyeron a una trayectoria ideológica que tuvo un hito en su discurso "Proyecciones Sociales del Ejército Rebelde", en enero de 1959, primera interpretación marxista de la realidad cubana. "Después de eso, apuntó la científica, la gente empezó a preguntarse por él, a seguirlo, porque encontraron que era no sólo el intrépido combatiente guerrillero, sino un hombre de convicciones y principios". Y, continuó la coordinadora científica del Centro de Estudios Ernesto "Ché" Guevara, hallaron que se trataba de un hombre "dedicado de corazón al trabajo diario en cada momento de su vida". No se puede olvidar, en este análisis, que el atractivo del Ché se ejerció pese a que apenas ejerció funciones durante seis años después de la victoria de 1959, pero les transmitió un legado, pese a su multiplicidad, porque las cumplió con calidad. Para dar una idea de sus contribuciones, baste decir -indicó Ariet- que el Ministerio de Industrias que encabezó el Ché se ha multiplicado en estos momentos en seis instituciones diferentes. La científica piensa que la influencia del argentino-cubano descansa en que siempre estudiaba, profundizaba sus convicciones marxistas con extraordinaria visión de futuro, e hizo críticas que después han mostrado su justeza. Según la coordinadora científica del Centro de Estudios Ernesto "Ché" Guevara, fue "un hombre que combinó la teoría y la capacidad de trabajo con un gran coraje", con una misión revolucionaria bien arraigada. Desde que conoció a Fidel Castro en México, recuerda, dejó bien claro que algún día, con la Revolución consolidada, partiría a combatir en otras tierras que requirieran sus esfuerzos, en particular, su natal Argentina. En 1965, pensó que ese momento había llegado y emprendió su proyecto, que ha sido mistificado a veces, pero que, de hecho, se desarrolló mientras participaba de la Revolución Cubana y comprendió mejor las cosas. En ese proceso entendió el camino a seguir y fue de una perspectiva latinoamericana a una global, como dejó plasmado en! el "Mensaje a la Tricontinental", mientras su carta de despedida. Esa misiva, leída en el acto de constitución del Comité Central del Partido Comunista de Cuba por Fidel Castro, hizo claro para muchos que Ché era una persona de una dimensión superior que lo dejó todo por sus ideas, aún al costo de su vida. Ha habido -precisa Ariet- especulaciones sobre supuestas contradicciones entre Castro y Ché que llevaron al argentino-cubano a partir, pero tal interpretación ignora el desarrollo de las ideas de Guevara a lo largo de su vida. Desde mucho antes de unirse a los revolucionarios cubanos, había moldeado sus ideas en la juventud y en Guatemala que le inculcó el concepto de que la lucha armada era la vía para enfrentar la injusticia social. Al hablar de la relación con Castro es necesario recordar que ambos se tenían un enorme respeto y el líder cubano aceptó su condición de marchar a Argentina u otro lugar que lo necesitara, en el momento oportuno. Ambos se han dedicado palabras en las que es obvia la devoción mutua, que descansó en el pensamiento propio y acertado del llamado "Guerrillero Heroico", su honradez y valentía. "Existen muchas interpretaciones erróneas sobre sus ideas y actos, como el discurso en Argelia en el que hizo fuertes críticas a los países socialistas, como resultado de criterios amasados durante largo tiempo", dijo Ariet. Ché no vaciló en expresar lo que creyó, aunque le costó muchas críticas entre algunos en el Partido Comunista de Cuba, que lo consideraron un "hereje" por sus posiciones sobre los errores que veía en la Unión Soviética. Hacer público aquello en aquel momento -puntualizó la especialista- era "increíblemente valiente" y un hecho teórico trascendental, que luego Fidel Castro reconoció. El líder cubano afirmó que si se hubiera hecho caso al "Guerrillero Heroico" se hubiera evitado en mucho el colapso soviético. Esa disputa del Ché con el entorno prevaleciente pasó inadvertido entonces en toda su dimensión. La marcha del Ché, según Ariet, no puede interpretarse como una divergencia con Fidel, sino -como escribió el propio argentino-cubano en su carta de despedida- la expresión de que él podía hacer lo que estaba vedado al líder cubano. Su partida, añadió, hizo que muchos lo vieran en una perspectiva diferente, en la que no han estado exentos conceptos malévolos eventuales sobre sus vínculos con la Revolución Cubana, pero que se desmoronan cuando se ve al Ché con buena voluntad. No faltan quienes han tratado de presentar los conceptos guevaristas como un fracaso, a partir de las experiencias del Congo y Bolivia, pese a que se debieron a falta de condiciones objetivas más que a errores cometidos. Ariet, de su propia conclusión tras estudiar detenidamente la experiencia boliviana en la vida de Guevara, señala que aquel fue un momento crucial llevado a cabo por hombres extraordinarios. La investigadora apunta que influyeron la traición de Mario Monje, dirigente comunista boliviano y que Ché no tuvo tiempo de crear una base para extender las guerrillas en la región, como hacía, porque los acontecimientos se precipitaron. El "Guerrillero Heroico" quería llevar a vías su famoso llamamiento a "crear dos, tres Vietnam", plasmado en el "Mensaje a la Tricontinental", y había condiciones por el estancamiento estadounidense en Vietnam. Se sumaban la existencia de varios frentes en América Latina y el desarrollo de los movimientos de liberación nacional que llevaron al derrumbe del colonialismo en África, para hacer que las ideas del Ché tuvieran un sustento real. El fracaso se debió a fallas humanas y, sobre todo, a envidias que condujeron a quebrar la unidad para alcanzar un propósito común, consideró la coordinadora científica del Centro de Estudios Ernesto "Ché" Guevara. El "Guerrillero Heroico" previó incluso esa posibilidad cuando en su "Mensaje a la Tricontinental" advirtió sobre el papel de esa falta de unidad en demorar la victoria y a que la hegemonía de Estados Unidos se prolongara y costara mucha sangre, dijo. Entre las lecciones de aquel episodio en Bolivia, Ariet estima primero el coraje de los miembros de la guerrilla en hacer de la guerra de guerrillas un instrumento para luchar por la paz y la justicia social. Otro elemento crucial es que Ché pasó a ser un ídolo al ser capaz de abandonar todo para luchar por principios universalmente aceptados, con ideas que han pasado a la vida cotidiana y la gente lo siente como un compañero. Las ideas y acciones del guerrillero argentino-cubano lo hicieron aceptable para diversos sectores y, además de artista de la guerra irregular, fue un teórico con un maravilloso conjunto de conceptos, opina Ariet. Todo eso lo hizo demasiado peligroso para los intereses de los enemigos, quienes hacen todo lo posible para neutralizar el ejemplo que le ganó prestigio de ídolo revolucionario. Ché estará "permanentemente en los corazones y mentes de las personas porque su vida es un imán permanente para la gente y llena las esperanzas de muchos", prosiguió la especialista. Ariet, quien integró el grupo multidisciplinario que encontró los restos del Ché y casi todos sus compañeros, rechazó la campaña enemiga para negar la autenticidad que calificó de error, porque nadie respeta ese tipo de manipulación burda. La investigación -insistió- descansó y se apoyó en métodos puramente científicos y era tan sólida que Alejandro Incháustegui, jefe del equipo de forenses argentinos, dijo que no era necesaria la prueba del ADN, en una entrevista en Santa Cruz, en junio de 1967. Pero, una vez llegados a Cuba los restos, se añadió para tener un expediente completo, aprovechando que había amplios datos de todos los guerrilleros, en particular del Ché, con su peculiar conformación ósea de la frente y la dentadura. Ché se hizo trabajos dentales en México y luego una prótesis para salir enmascarado hacia Bolivia con una identidad encubierta, además de que se le habían hecho múltiples mediciones antropológicas, que eliminaban cualquier posibilidad de errores. La falta de las manos era una buena señal, pero nada definitivo, en comparación con las pruebas científicas, a las que se sumó la de ADN para ratificar las conclusiones a las que se había llegado. El ADN es decisivo, pero sólo se practica hace 2-3 décadas y, dejarlo todo a sus resultados sería negar las identificaciones previas. ¿Es eso un método científico?, preguntó la socióloga. Hacer la prueba en Cuba era muy posible, porque aquí estaban la viuda y los hijos y existían las condiciones. Se llevó a cabo entre la llegada de los restos, en junio de 1967, hasta octubre del mismo año, cuando fueron ubicados en el Memorial de Santa Clara. El Centro de Estudios Ernesto "Ché" Guevara, cuya inauguración todavía no es oficial, aunque labora a todo tren, tiene la misión de investigar sobre la vida y hechos de una personalidad extraordinaria con un pensamiento multilateral amplio y sistemático. Esa amplitud en filosofía, sociedad, economía, política e historia, requiere estudios por temas separados que luego se integran en las grandes vertientes para poder alcanzar su comprensión integral. El Centro rechaza las tendencias para hacer del Ché un producto de mercado o presentarlo de forma parcial o manipular las ideas, además de contar con un proyecto editorial. "Recientemente, publicamos 'Reflexiones Críticas sobre la Economía Política', un asunto que llamó su atención frecuentemente y que escribió en Praga", precisa la coordinadora científica del Centro. No faltan proyectos comunitarios para establecer vínculos con las escuelas, ya que se busca que "seremos como el Ché", la consigna de los niños cubanos, no sea una mera frase, sino una actitud diaria y consciente, explica Ariet. Entre las actividades que se promueven porque resultan atractivas a los niños y jóvenes están la fotografía, que Ché practicó con calidad, y la informática, de la que fuera promotor en el Ministerio de Industrias. El propósito es que entiendan al Ché y sus ideas y no imitarlo o copiar, lo que seguramente no lo haría muy feliz, sino que hablen de aquel hombre con comprensión de su significado, apunta la investigadora. En esa línea, hay una discusión sobre el uso de la imagen del Ché para recuerdos y otros objetos, que Ariet rechaza desde el plano per! sonal, pero a partir de una crítica objetiva, que examine las motivaciones para esa moda. "Ha habido intentos de hacer del Ché un ídolo distorsionado, un hombre violento y sin escrúpulos, y eso es lo que no podemos aceptar", precisa la coordinadora científica del Centro de Estudios Ernesto "Ché" Guevara. Cuando mataron al "Guerrillero Heroico", los enemigos trataron de desaparecerlo para que la gente lo olvidara, pero ocurrió todo lo contrario y su imagen pasó a ser símbolo de rebeldía y de lucha por la justicia social. O sea, que al principio Ché era un símbolo revolucionario y no un producto de mercadeo, eso debe ser analizado. Los empresarios quieren responder a un deseo de los jóvenes y otros sectores sociales y adoptaron la imagen del argentino-cubano. Un objetivo central era manipularlo y dejarlo sin su contenido revolucionario, con la aceptación de su rostro y el rechazo de sus ideas, pero es un infantilismo tratar de detener las tendencias del mundo moderno. "La clave es no dejar que el Ché sea distorsionado. Este es un asunto complicado y debe abordarse mediante consensos, después de discusiones colectivas y basadas en la ciencia", estima Ariet. En ese sentido, hay que recordar -señala- que ahora es una moda vestir camisetas con la efigie del Ché, pero cuando pase la moda, esas personas se preguntarán quién era ese hombre y ocurrirá un gran salto. "Los símbolos falsos pasan, pero los que establecen los pueblos permanecen y nada en el mundo podrá acabar con ellos", destaca Ariet, quien puntualiza que los pueblos han escogido al Ché como símbolo para acompañarlos en sus luchas.

Novedades en Cubainformación TV

Lecciones de manipulación: Barrio Cuba y Brokeback Mountain: doble rasero en el cine sobre homofobia. Duración: 3,43 http://www.cubainformacion.tv/index.php?option=com_content&task=view&id=1333&Itemid=86
Entrevista al cineasta cubano Humberto Solas. Primera Parte: La memoria colectiva y otras simbologías en el cine de Humberto Solas. Duración: 14,45 http://www.cubainformacion.tv/index.php?option=com_content&task=view&id=1220&Itemid=86
Entrevista al cineasta cubano Humberto Solas. Segunda Parte: El nacimiento de un nuevo cine cubano y el impulso del "cine pobre". Duración: 9,15 http://www.cubainformacion.tv/index.php?option=com_content&task=view&id=1219&Itemid=86
Manifestación en Madrid 26 de Julio. El futuro de Cuba es su Revolución. Duración. 6,43 http://www.cubainformacion.tv/index.php?option=com_content&task=view&id=1455&Itemid=86
Misión Milagro en La Paz (Bolivia). Duración: 2,18 http://www.cubainformacion.tv/index.php?option=com_content&task=view&id=1212&Itemid=86
Mesa de radio: Cuba inaugura en Ecuador centro de la Operación Milagro. Duración: 9,10 http://www.cubainformacion.tv/index.php?option=com_content&task=view&id=1334&Itemid=86
Discurso íntegro de Raúl Castro en Camagüey, en los actos por el 26 de Julio. Duración: 1,01,17 http://www.cubainformacion.tv/index.php?option=com_content&task=view&id=1418&Itemid=86
Mesa Redonda de la TV Cubana: América Latina: deuda social y alternativas. Duración: 1,30,08 http://www.cubainformacion.tv/index.php?option=com_content&task=view&id=1338&Itemid=86
AUDIO - Programa de radio nº 13. Cómo se celebra el 26 de Julio en Cuba. Duración: 58,00 http://www.cubainformacion.tv/index.php?option=com_content&task=view&id=1430&Itemid=66

Monday, July 30, 2007

Raúl Castro: comunista como Fidel pero con otro estilo

ANDREA RODRIGUEZ AP - Con fama de pragmático y menos locuaz que su hermano Fidel, el presidente interino Raúl Castro cumplió un año al mando del ejecutivo sin propiciar cambios en Cuba, aunque sí con algunos indicadores sobre su "estilo" de trabajo.

"Para tener más hay que producir más y con sentido de racionalidad y eficiencia", expresó el jueves, pero advirtió que "todo no puede resolverse de inmediato".

En el último año que estuvo en el poder, dejó clara su posición en algunos temas como el interés en negociar con Estados Unidos siempre que Washington respete la soberanía de la isla o su preocupación por el rezago del modelo cubano en la producción, vivienda y transporte.

En este sentido, por ejemplo, por primera vez en una década se completó el pago a los campesinos privados, a quienes el Estado compra sus productos y que perdían cosechas enteras en medio de la tensión con las autoridades deudoras.

Mientras, se dictaron nuevas normas del Ministerio de Trabajo para que se cumplan realmente los horarios laborales y los empleados no se ausenten de sus puestos.

Raúl Castro, de 76 años y llamado "El Dos" por la población cubana, asumió la presidencia el 31 de julio de 2006, luego que su hermano Fidel delegara sus funciones debido a una cirugía intestinal.

Es "un hombre sumamente organizado... sistemático, exigente", expresó de él una semblanza realizada por un vicepresidente del Consejo de Estado, José Ramón Fernández.

De hecho las Fuerzas Armadas que Raúl Castro dirige fueron un puntal con la creación de empresas, la producción de alimentos o la transferencia de directivos para las medidas --algunas de corte mercantilista-- que sacaron de la crisis al país en los años 90, cuando cayó el comunismo en Europa del Este y desapareció el subsidio de la Unión Soviética a la isla.

Entre los opositores los matices impuestos por Raúl no pasaron inadvertidos.

"No hubo un cambio trascendental (en el modelo cubano), pero sí otra forma de trabajo, más sosiego para la población, menos mítines o más racionales... parece un método colectivo de trabajo", dijo a la AP el economista disidente Oscar Espinosa Chepe.

Un reporte de la no gubernamental Comisión de Derechos Humanos y reconciliación Nacional indicó un descenso en el números de los presos políticos de 316 en julio del 2006 a 246 actualmente. A la vez que desaparecieron los actos contra opositores por parte de grupos simpatizantes del gobierno.

Mientras que los mítines revolucionarios antes masivos y costosos, se hicieron más pequeños y con gastos reducidos para transporte y movilización.

"Pero de ninguna manera la situación estructural se ha modificado y por el contrario los problemas se acrecentaron", agregó el opositor Espinosa quien mencionó por ejemplo la falta de poder adquisitivo del salario, pues este no cubre las necesidades de las familias obligando a las personas a participar del mercado negro.

Más allá de los deseos de los minoritarios grupos disidentes de un cambio de sistema o de las presiones de Washington para retornar a la isla al capitalismo; algunos académicos afines al gobierno reconocen la necesidad de tomar medidas para que el socialismo isleño no se pierda.

"Cuba se aproxima al medio siglo de vida como experiencia singular de poder anticapitalista experimentando síntomas y demandas de transformaciones internas", escribió el profesor de la Universidad de La Habana, Armando Chaguaceda, en la más reciente edición de la revista cubana "Temas", muy leída por la intelectualidad del país.

Para Changuaceda, un reto (aunque no hace mención de Raúl Castro) apostando por una transición hacia más socialismo, es buscar una fórmula donde el Estado también dé espacio a las cooperativas o las empresas familiares, mejorando el bienestar de la población.

Durante un panel organizado por la misma revista, el profesor Jorge Luis Acanda González expresó: "Quisiera que el socialismo cubano de la próxima década fuera menos estadocéntrico, para que se desarrollara más la democratización del poder y de la propiedad".

Raúl Castro, cinco años menor que Fidel, acompañó durante décadas al movimiento revolucionario de la isla, primero en la lucha contra Fulgencio Batista y luego en el poder como un convencido comunista.

Para algunos observadores se hace difícil medir hasta dónde llegará Raúl Castro, mientras siga gravitando la imagen de su hermano, quien retiene el cargo de presidente.

Mientras tanto, un hecho de fuerte simbolismo encendió las alarmas en estos meses sobre el "reloj biológico" y el factor tiempo: la muerte hace algunas semanas de la primera dama, Vilma Espín, figura central de la "dirigencia histórica" que triunfó en 1959 y cuyos miembros en el gobierno superan los 75 años de edad.

En lo adelante se verá el camino de Raúl Castro y si las futuras generaciones le dan continuidad o no a sus ideas.


Ignoring the undertones of socialism

Socialism is not a monolithic ideology and is not a terrible, fear-driven beast that threatens the U.S. masses. In fact, it is quite the opposite.
By: Colin Pace
There is no doubt that "socialism" is a loaded word in the Western world. Institutions ranging from news stations to school systems teach that socialist and nationalized programs are doomed to collapse under the weight of bureaucracy and corruption. There seems to be a general acceptance that leaders of socialist nations are aspiring despots, and that any pro-socialist ideas should be immediately dismissed, as it is understood that socialism just isn't right.

The idea exists in the West that the Cold War was the final showdown between the Communist bloc and the Western world. As the story goes, the United States trounced the Evil Empire by setting up a bulwark of capitalist states to ward off the threat of Communism. Since then, the remaining socialist nations are puttering out, drawing near their final days before privatization comes to their rescue.

Yet anti-socialist rhetoric, in a sense, is merited. It is undeniable that most of the world powers are capitalist nations, and dominant "socialist" nations - China, Cuba, North Korea and Vietnam - are having difficulties. Moreover, neoliberal policies, extended through institutions like the International Monetary Fund and the World Bank, are set up to help developing nations privatize and modernize their industries. These policies, in theory, will eradicate destitution. What we are taught in school and grow up believing is that capitalism not only benefits the leading nations of the world, but is also working to raise the standard of living for everyone.

Today, most Western institutional authorities claim that capitalism is indisputably superior to socialism. They nearly make it a crime to question what socialism is, how it functions and why it is "failing" around the world. From the red-baiting that Eugene V. Debs faced to the extremity of the McCarthyism era, the West continues to stigmatize socialists as "others," marginalizing their ideas and movements.

Socialism, however, should not be cast aside so easily. Socialism is not a monolithic ideology and it is not a terrible, fear-driven beast that threatens the U.S. masses. In fact, it is quite the opposite. To understand this, one need not look further than Michael Moore's recent movie, "Sicko." Though gimmicky and biased, like his other movies, the film raises an important question about why universal health care systems rank so high above the United States' privatized system in a global comparison.

But as the disparity between rich and poor grows in the United States, the same is happening around the world in situations far more significant than health care. Developing nations have received infrastructure-building loans from the World Bank to help industrialize. While this may help the upper class, the money does not usually benefit the people who need it most. The World Bank dictates the terms of loan agreements, often forcing developing nations to break up or sell nationalized industries to make way for private interests from other countries, leaving developing nations in debt. Meanwhile, massive cuts in social spending, devaluation of currency and unequal trading policies result from the policies instated by the new backers. Countries around the world, from Asia to Latin America to Africa, have been hit hard by these austerity measures.

While many U.S. citizens may be enjoying a relatively comfortable lifestyle, it is precisely because they are in the upper echelon of the economic spectrum compared to worldwide standards, and our current system caters to those at the top of society. Factory workers thousands of miles away are harshly exploited so consumer goods such as clothing and TVs can be sold at low prices to American consumers.

People should not judge the word "socialism" solely by what they know of "socialist" leaders. Leaders like Joseph Stalin and Fidel Castro may have upheld socialist aspects of their administrations, but they were not actually "socialists" - A ruling elite still oppressed people within their countries, and did so just as harshly as their capitalist rivals. The immediate knee-jerk reaction that many have to the word "socialism" stems from the connotations of atrocities carried out under those administrations. Moving beyond superficial analysis of the word will allow people to better understand what socialist arguments are about.

Socialists around the world work toward bettering working conditions, raising wages, ending the war in Iraq, halting the injustices of the prison system and combating global warming, just to name a few of their critical agendas.

Even those who are staunchly opposed to the nationalization of industry, believing that the free market is the only means for progress, should question the objectivity of the Western view of socialism. The word is loaded with connotations, but that should not stop people from asking what the system is really about.
Pace is an anthropology and history junior. --------------------------------------------------------------------------------© Copyright 2007 The Daily Texan


Alabama farmers want to export more to Cuba

By Marty Roney, USA TODAYJASPER, Ala. — Dorman Grace looks over his north Alabama farm and wonders how chickens may play a role in ending the trade embargo between Cuba and the United States.Grace, a third-generation poultry and cattle farmer, and others like him, are already able to do business with Cuba under a law passed by Congress in 2000 allowing the sale of humanitarian and agricultural products to the island nation, which slightly eased the trade embargo in place since 1962.

Since the law began to be implemented in 2001, Cuba has imported about $1.55 billion in goods from the United States, according to the U.S.-Cuba Trade and Economic Council. The Cuban market is large: The nation imports half to two-thirds of its staples, according to a July U.S. International Trade Commission report.

Alabama has been aggressively taking advantage since 2003.

The U.S. Commerce Department estimates Cuba will import $300 million to $350 million in goods from the USA this year. Alabama will provide about a third of that, at $100 million to $120 million in goods, according to the state's Department of Agriculture and Industries.

That's consistent with recent history. Alabama businesses exported $100 million or more of goods to Cuba in each of the past three years, according to state figures.

A 2005 Texas A&M study showed Arkansas leading the nation with exports to Cuba, with an estimated $167 million in trade a year. Alabama was second at $120 million, followed by California ($98 million), Iowa ($71 million) and Texas ($54 million). Many Alabama farmers would like to see that business expand further.

"It's a global world we live in," says Grace, 51, whose farm produces about 110,000 chickens a year. "We need markets for what we produce. Unlike the American market, the Cuban market prefers dark meat, so that's beneficial. We trade with countries around the world. Why not Cuba?"

Last year, 66% of the wheat imported by Cuba came from the USA. Other staples imported included: corn, 71%; rice, 77%; poultry, 65%; pork, 42%; soybeans, 100%; and animal feed, 76%, according to a July U.S. International Trade Commission report.

The effort has even reached state-controlled media in Cuba. The Granma daily newspaper, which on its website proclaims it the "Official Organ of the Central Committee of the Communist Party of Cuba," is printed on newsprint made at three south Alabama paper mills, according to Ron Sparks, Alabama's commissioner of Agriculture and Industries.

Grace has worked with Sparks since he was elected commissioner in 2002 on increasing trade with Cuba.

"When I was elected to my first term, the poultry farmers in the state were in a bind. Agriculture as a whole was in a bind," Sparks says. "We needed to expand our markets. Cuba is a natural trading partner. Cuba only raises 30% of what they eat. There are 11 million people in Cuba who need to eat."

Sparks says he knows many people disagree with his position.

"There's a lot of folks in South Florida who have a different opinion than I do," he says. "I hope they see we are trying to make it better for the Cuban people. We're not selling them bullets or tanks or aircraft. We are selling them peanut butter, syrup and shingles."

Sales have been somewhat limited by requirements that Cuba make the payments in full before shipments leave American ports.

Secretary of Commerce Carlos Gutierrez said earlier this year that it would be "naive" to think that easing trade restrictions would improve conditions in Cuba. He spoke about the embargo at a Council of the Americas meeting in Washington.

"The question is not when will the U.S. change its policy. The question is when will the Cuban regime change its policy," he said. "Years of foreign investment have not improved the lives of average Cubans, only the lives of those in power."

Many Alabama farmers, however, see trade as a positive for both countries.

"I love my country, and I think capitalism holds the most promise for the world," says Sam Peak, who owns about 300 acres of timberland in central Alabama. He sells trees through a broker to Cahaba Pressure Treated Forest Products in Brierfield, Ala. The company sells poles and lumber products to Cuba.

"Who knows, maybe expanded trade with Cuba could lay the groundwork for real change in that country," Peak says. "Sooner or later, the markets in Cuba, all the markets, are going to open up."



L’argent de RSF intrigue le Médiateur européen.

L’Union européenne sur la piste des subventions versées à RSF.par Maxime Vivas
Rappelons les faits.En 2003/2004, l’Union européenne (UE) a octroyé 1 293 303 euros à RSF.

Le 1er février 2005, Reporters sans frontières a adressé une lettre publique comminatoire au Président de l’Europe l’adjurant de l’aider à provoquer une « transition démocratique » à Cuba. L’expression « transition démocratique » est utilisée par l’Administration Bush pour signifier : liquidation du gouvernement cubain et gestion de l’île sous protectorat US.

RSF énonçait des prescriptions précises : « Il nous paraît indispensable que l’UE apporte son soutien aux agences de presse indépendantes, ainsi qu’aux organisations de syndicalistes, de bibliothécaires, médecins, économistes, etc. »

On voit là que RSF balaie pratiquement tout le champ politique en préconisant d’intervenir dans les systèmes médiatique, social, culturel, médical, économique, ainsi que dans le sibyllin « etc. ».

« Etc » ? Si l’on en croit Nestor Baguer, journaliste « dissident » cubain longtemps appointé par RSF et recruté à La Havane par Robert Ménard en personne (qui apprendra trop tard que c’était un agent de la sécurité cubaine), RSF s’intéresse aussi à une possible dissidence dans la police et dans l’armée.

Bref, sous couvert de la défense des journalistes dans le monde, RSF mène-t-elle des actions factieuses avec l’argent de l’Europe ? Si oui, ne s’agit-il pas d’un détournement des fonds pour un usage incompatible avec les règles qui régissent les rapports entre Etats, ici entre Cuba et l’Europe, cette dernière n’ayant jamais inscrit dans ses objectifs le renversement d’un gouvernement qui ne représente aucune menace pour elle et avec qui elle entretient des relations diplomatiques normales ?

Pour le savoir, j’ai déposé, le 3 février 2005, une plainte contre RSF auprès de l’UE en lui demandant de s’assurer du bon usage des subventions.

A commencé alors le jeu de la patate chaude. Entre février 2005 et juin 2006, ma plainte a hanté les bureaux de M. Nikiforos Diamandouros, médiateur européen, Mme Rachel Doell, sa secrétaire, M. Joa Sant’Anna chef du département administratif et financier, M. Daniel Koblentz, Mme Josiane Pailhès, membre de la Commission, Mme Marjorie Fuchs, juriste au bureau du Médiateur, M. Giuseppe Massangioli, directeur de la Direction G du Secrétariat général, M. Ian Harden, du bureau du Médiateur et jusqu’à M. José Manuel Barroso, Président de l’UE. Ce dernier fut la 9ème personne à compulser un dossier avançant au rythme des carabiniers d’Offenbach (qui chantent sur scène « Marchons, marchons », en faisant du surplace).

Pressé de questions par mes différents interlocuteurs, j’ai pu préciser que 779 304 euros avaient été versés à RSF en 2003 et 513 999 euros en 2004 « pour la défense des journalistes emprisonnés en Asie et dans les pays ACP » (Afrique, Caraïbes, Pacifique) » dans le cadre de « l’Initiative européenne pour la Démocratie et les Droits fondamentaux ».

Nous avions là les différents protagonistes, (RSF et l’UE), les années budgétaires de versements, les montants, l’intitulé de l’usage prévu des fonds.

Et ma question était simple : Votre (notre) argent a-t-il été utilisé à bon escient ou détourné pour d’autres causes ?

Finalement, la réponse de l’UE fut : si vous ne fournissez pas « la référence exacte du contrat » avant le 31 juillet 2006, la plainte sera classée.

A ce moment-là, je me suis persuadé que si je parvenais (par une intrusion nocturne dans les bureaux de l’UE ?) à lui fournir le renseignement qu’elle seule possédait, on me demanderait ensuite l’heure de signature et la marque du stylo, voire le signe zodiacal des signataires et les numéros de sécurité sociale de leurs ascendants.

Entre temps, RSF avait reçu le prix européen Sakharov, j’avais appris que l’UE a négocié avec les USA des dérogations à la loi extraterritoriale US Helms-Burton (qui limite le commerce avec Cuba) en échange de condamnations répétées de l’île des Caraïbes, que Lucie Morillon, la représentante de RSF à Washington, avait révélé que le contrat de RSF avec le Center for a Free Cuba (paravent de la CIA oeuvrant à la « transition démocratique ») oblige l’ONG, en échange de dollars, à agir contre ce pays.

L’affaire étant entendue, je jetai l’éponge. Au demeurant, l’objectif n’était pas de faire condamner RSF par l’Europe (ne rêvons pas), mais de mettre à nue les collusions RSF/USA/UE.

Mais voilà que (surprise !) le Médiateur européen m’écrit, le 18 juillet 2007. Et pour me dire quoi ? Qu’il ne comprend pas pourquoi la Commission européenne ne m’a fourni aucune réponse, qu’il suppose que l’UE détient un registre décrivant les subventions versées ainsi que les actions promues avec cet argent, que j’ai clairement exposé mes préoccupations : déstabilisation « de gouvernements légitimes en utilisant les fonds européens pour la défense des journalistes. », qu’il fait part de ces observations à la Commission européenne en lui demandant pourquoi elle a été « incapable » de répondre à ma plainte.

Bref, il n’est pas content, il s’interroge, négligeant la date butoir à laquelle devait être fourni, à ceux qui l’ont signé, le numéro du contrat incriminé.

Pourquoi ce rebondissement ?Parce qu’un nombre croissant de pays dans le monde n’admet plus l’acharnement anti-cubain des affidés des USA ?

Parce que l’Espagnol José-Maria Aznar est sur la touche et que José-Luis Zapatero agit autrement ?

Parce que, le 12 juin 2007, la Française Christine Chanet, représentante du Haut-commissariat des droits de l’homme à l’ONU, dénigrant Cuba à Genève lors de la réunion du Conseil des droits de l’homme a suscité l’indignation ouverte de 26 pays membres sur 47 ?

Parce que de plus en plus d’Etats-uniens préconisent une autre approche du cas cubain ? (Wayne S. Smith qui fut le représentant des Etats-Unis à Cuba dans les années 80 a écrit, le 22 juillet 2007, que « Le plan d’action de Bush ne marche pas »).

Parce que l’Europe perd peu à peu toutes ses positions économiques et commerciales à Cuba, laissant la place libre à la Chine aujourd’hui, et aux USA demain ?

Parce que RSF commence (enfin !) a sentir le soufre ?

Ou tout simplement parce que le traitement de ce dossier par la Commission européenne relève d’un « foutage de gueule » dans lequel le Médiateur lui-même est méprisé ?

Pour plusieurs de ces raisons ? Pour d’autres à découvrir ?

Allez savoir ! Ce qui est sûr, c’est que la question : une « ONG » peut-elle ouvertement utiliser l’argent du contribuable européen dans l’intérêt des USA n’est pas enterrée.

A suivre donc, sans illusion, mais en se délectant du numéro de contorsionniste/transformiste d’une Europe invitée par Cuba à reconsidérer, sans précipitation, son comportement.

Le 18 juin 2007, le ministère des Relations extérieures cubain publiait un communiqué invitant l’Union européenne à « rectifier les erreurs commises envers Cuba ». Et d’ajouter orgueilleusement : « Mais rien ne presse : nous avons tout le temps du monde ».

En effet, en multipliant ses échanges commerciaux avec un nombre croissant de pays non européens, Cuba desserre l’étau US. Les campagnes médiatico-politico-RSfiennes agissent surtout comme des boomerangs.

En mêlant ses euros aux dollars entassés dans la caisse de RSF, l’Union Européenne joue contre son camp.



Cuba-Etats-Unis : Vers le dégel ?

lefaso.netLe désir de rapprochement du régime cubain avec Washington se fait de plus en plus persistant, notamment avec la dernière sortie de Raul Castro, président par intérim depuis un an dans l’île, suite à la dégradation soudaine de l’état de santé de son frère aîné, Fidel Castro. Pour la troisième fois consécutive en l’espace d’une année, le régime cubain sous l’ère Raul, a réaffirmé sa volonté de dialogue avec Washington.Même si dans son offre du 26 juillet dernier à l’occasion de la fête nationale du pays, le leader cubain écarte d’emblée l’actuel régime américain de George W. Bush, jugé "rétrograde et fondamentaliste", pour s’adresser, dans l’attente d’un dialogue civilisé, au futur président américain qui sera élu courant novembre prochain, il demeure que cette nouvelle attitude des autorités cubaines sonne comme une volonté d’améliorer les relations tendues avec Washington. Mais, en renvoyant les autorités cubaines à leurs propres populations, réclamant qu’elles dialoguent d’abord entre elles, le régime Bush montre son mépris vis-à-vis des autorités de l’île.
Cependant, depuis le virage à gauche de Castro, après le déferlement de ses partisans des collines de la Siera Maestra en 1958 pour renverser, avec la bénédiction américaine, le régime dictateur de Batista, et la vive tension qui a longtemps caractérisé les rapports entre les deux pays, l’appel du pied de Raul Castro s’annonce comme une première. Déjà, certains y voient le début d’un possible dégel dans les relations entre les deux rives de la Floride.
Reste que les habitués des traditionnels discours guerriers et hyper hostiles aux Etats-Unis, les Cubains castristes, auront du mal à s’accommoder d’une telle donne.
Quels seront les termes d’un éventuel rapprochement entre Américains et Cubains ? Quelle concession chaque camp sera-t-il prêt à faire ? Le communisme cubain survivra-t-il à Castro ? L’embargo américain aura-t-il finalement raison du dernier bastion du socialisme ? Ce sont là autant de questions auxquelles il faudra trouver réponse en cas de rapprochement effectif.
Après tant d’années de résistance, après avoir bravé, voire banalisé cet embargo américain, le peuple cubain est, selon toute apparence, sur le point de plier l’échine. Mais pouvait-il en être autrement face à un monde de plus en plus globalisant où le rouleau compresseur du capitalisme tourne à plein régime et lamine tout sur son passage ? Cuba pouvait-elle continuer indéfiniment à faire cavalier seul dans cette voie parsemée d’embûches ? Assurément non, surtout pas dans cette ère qu’on pourrait baptiser d’"ère des ouvertures", où de vieilles pointures du communisme comme la Chine, la Russie et autres ont pratiquement fini d’opérer leur mue pour s’adapter à "l’air du temps". En tous les cas, l’inimitié ne saurait être éternelle et il faudra bien un jour y tourner le dos.
Cela étant, Fidel Castro n’aura pas vécu pour rien. Son combat n’aura pas été vain. D’autant que le Lider Maximo et son peuple auront montré à la face du monde tout le poids dévastateur de l’unilatéralsisme et de l’impérialisme américains. Il aura dignement joué sa partition, même si la nouvelle donne politique internationale appelle de nouvelles approches au regard des "changements structurels" qui s’imposent à Cuba.
Il est clair que Fidel Castro et son peuple auront su dire non aux Américains jusqu’au bout. Ces derniers ayant, sans succès, usé de toutes sortes de manèges et de pièges pour pousser le Lider Maximo hors de la scène.
Mais s’il y a une catégorie de personnes qui se réjouiraient de la fin du système castriste, hormis les Américains et beaucoup de leurs alliés, ce sont certainement les Cubains de Floride. Ces exilés anti castristes qui ont dû quitter l’île sous la répression du "commandante" et qui s’impatientent depuis des décennies de l’autre côté de la rive de voir la fin du "règne", synonyme de la fin de leur exil.
Mais il faudra encore attendre que le régime Bush s’en aille en novembre, comme le prévoit Raul Castro. En revanche, parmi ceux qui ne seront guère enchantés par ce revirement de situation à Cuba, figure sans aucun doute le président vénézuélien Hugo Chavez. Ce sera certainement un coup dur pour l’ami et l’allié de Castro, porte-flambeau de l’anti-unilatéralisme américain dans la région, qui jure de continuer l’oeuvre de Castro même après sa mort.



Y en eso se fue Fidel

El Periódico
La opinión del diario se expresa solo en los editoriales. Los artículos exponen posturas personales.+ Un año después de la última aparición pública de Fidel Castro se han cumplido todos los pronósticos en cuanto a la fortaleza y el control de la ...Raúl Castro endereza rumbo en Cuba El Universal (Venezuela)RAUL CASTRO , AFIANZADO, ASUME RETOS ECONOMICOS AnsaLatina.comNoticias de Navarra - Diario Digital Juárez - RFI - La Prensa Gráfica
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http://news.google.co.ve/news?ned=es_cu&ncl=1155323411&hl=es,


Dos camaradas
Hugo Chávez se compromete a continuar la "lucha revolucionaria" de Fidel

inSurGente (J.L) .- El presidente venezolano, Hugo Chávez, se comprometió hoy a continuar la "lucha revolucionaria" de Fidel Castro, que cumplió un año alejado de la presidencia tras una complicada cirugía intestinal. Dijo que el líder cubano sigue ''batallando'' y ''viviendo intensamente'', aunque estuvo ausente de las celebraciones que se hicieron en por los 54 años de la toma del Moncada, la mayor celebración de la Revolución en la isla. Chávez tuvo palabras de elogio y de cariño hacia Fidel.Agencias/inSurGente.-"Ya lo he dicho, Fidel: yo asumo el compromiso de continuar tu lucha, tu batalla interminable y tú no te vas a ir todavía. íNo, yo lo sé!", exclamó Chávez durante la inauguración de un complejo agrícola en la zona andina de Trujillo, a 380 kilómetros al suroeste de Caracas, en un mensaje que fue transmitido en cadena de radio y televisión. El mandatario venezolano explicó que "hombres como Fidel terminan sacrificando su vida, como Cristo". Además recordó que hace justo un año, cuando se enteró de la enfermedad de su colega, estaba en Vietnam y decidió hacer una escala en La Habana de regreso a Venezuela. También destacó las palabras que le dedicó Castro en ese entonces: "Yo ya me puedo morir, pero tú no te puedes morir Chávez", citó el propio mandatario venezolano. "Sin embargo, yo, hijo abusador, sólo le dije: 'Tú tampoco te puedes morir. Nos haces falta un tiempo largo'", subrayó.


Bruselas, La Habana y los derechos humanos
Salim Lamrani
http://www.rebelion.org/noticia.php?id=54279,


Palabras del director del canal Telesur en la Universidad Internacional Menéndez Pelayo“Hay muchas cosas positivas que pasan en América Latina y que no se reflejan en la prensa europea” http://www.rebelion.org/noticia.php?id=54289,


Una contribución a la discusión sobre el socialismo en Venezuela
Luchar por la construcción del socialismo es derrotar el capitalismo salvaje
http://www.rebelion.org/noticia.php?id=54304,

The Latin American RevoltAn Introduction by John Bellamy Foster http://www.monthlyreview.org/0707foster.htm,

CBS Looks at Cuba's 'Gift' to American Med Students, Finds 'No Health Care Paradise'http://newsbusters.org/blogs/brad-wilmouth/2007/07/30/cbs-looks-cubas-gift-american-med-students-finds-no-health-care-parad,

Sunday, July 29, 2007

info 29-7-07

Raúl Castro ante rompecabezas de reformar la economía sin molestar a Fidel

WASHINGTON (AFP) - El presidente interino de Cuba, Raúl Castro, que reiteró la necesidad de reformar una economía que estaría al borde del abismo sin la ayuda de Venezuela, se enfrenta al rompecabezas de efectuar cambios urgentes sin molestar a su hermano Fidel, dijeron analistas a la AFP.
"¿Cómo abrir la economía apaciguando a Fidel y dándole, al mismo tiempo, algún tipo de esperanza a la gente? Ese es el talón de Aquiles del Gobierno cubano", afirmó Marifeli Pérez-Stable, del Diálogo Interamericano, después que Raúl Castro abogara el jueves por "cambios estructurales y de conceptos".
Para Janette Habel, del Instituto francés de Altos Estudios de América Latina (IHEAL), las autoridades se enfrentan a otro dilema: "Por una parte deben efectuar reformas económicas y, por otra, esas mismas reformas pueden tener consecuencias sociales y amenazar la estabilidad del régimen".
"Todas las medidas planeadas por cierto número de reformistas tendrán como consecuencia, si se aplican ahora mismo, una caída del nivel de vida para las categorías más pobres", predijo, al tiempo que subrayó la necesidad de que el Gobierno sea "fuerte para aplicarlas y soportar las consecuencias".
Los últimos resultados económicos cubanos dejaron que desear: el turismo bajó un 3,6% en 2006, la última cosecha azucarera apenas superó el millón de toneladas y la isla padece asimismo las consecuencias de la asfixia financiera aplicada por Estados Unidos sobre los bancos.
Al asumir temporalmente la presidencia tras la enfermedad de su hermano, Raúl dejó entrever "suspiros de cambio" cuando asumió el poder hace un año, aunque todo quedó "congelado" a principios de este año, en palabras de Pérez-Stable.
La analista atribuyó la parálisis al regreso del presidente: "Fidel no está lo suficiente recuperado como para presentarse en público, pero está conciente, elabora columnas para los periódicos y llama a la gente por teléfono. Eso es lo que tenía paralizado al gobierno por los menos desde 2000", dijo.
Jabel comprobó asimismo que "todas las iniciativas están paralizadas, especialmente las reformas agrícolas que apuntan a crear más cooperativas y darles mayor autonomía para estimular la producción" y pronosticó que "ninguna reforma importante tendrá lugar mientras el poder no sea transferido a Raúl".
Ian Vásquez, del CATO Institute, en Washington, fue todavía más lejos y pronosticó que no habrá cambios hasta que Fidel desaparezca: "Mientras viva, nadie se va a atrever a hacer los cambios que necesita Cuba. Cuando muera, sí se puede abrir la posibilidad de algunos cambios, pero van a ser más bien mínimos", añadió.
"Creo que esa es la peor situación posible para los sucesores y la sucesión: que Fidel siga vivo", sentenció Pérez-Stable, convencida de que los cubanos esperaban cambios, tras la delegación del poder a Raúl
"La ciudadanía en Cuba sintió que, por los sucesos del año pasado, se iba a empezar a mejorar algo. Eso no ha sucedido", subrayó. "En Cuba, entre la gente normal y corriente debe de haber una tremenda frustración porque ha pasado otro año y su vida no ha mejorado", sostuvo.
Según los expertos consultados, sin la ayuda del presidente venezolano, Hugo Chávez, la situación sería catastrófica. "Si Cuba tuviera que pagar el baril de petróleo al precio de mercado a 70 o 75 dólares, pienso que su economía habría colapsado", aseguró Habel.
El presidente venezolano, Hugo Chávez, "le saca las castañas del fuego económico", al suministrar a la isla unos 92.000 barriles diarios de petróleo a precios preferenciales, coincidió Pérez-Stable.
"Lo irónico es que Cuba, bajo el comunismo, siempre ha vivido de la ayuda exterior y ahora mismo es más dependiente que nunca del mundo exterior", subrayó Vásquez. "En esta oportunidad, Venezuela ha sido la que salió al rescate de un sistema fracasado", concluyó.


Bruxelles, La Havane et les droits de l'homme
(28-7-07) Salim Lamrani

Le 12 juin 2007, Christine Chanet, la représentante du Haut-commissariat des droits de l'homme pour Cuba, a essuyé un sérieux revers à Genève, lors de la réunion du Conseil des droits de l'homme des Nations unies. Après avoir présenté son rapport sur la situation des droits de l'homme à Cuba, cette dernière a été l'objet une salve de critiques l'accusant de partialité. Fait sans précédent, pas moins de 26 pays membres sur 47 se sont succédés à la tribune pour désavouer la représentante française et faire l'éloge de l'aide humanitaire fournie par le gouvernement cubain au Tiers-monde (1).

En effet, Cuba dispose actuellement de plus de 40 000 médecins, infirmières et enseignants qui travaillent gratuitement et bénévolement dans plus de 100 pays différentes. Les membres du Conseil ont également rappelé que plus de 700 000 personnes ont retrouvé la vue après avoir été opérées gratuitement par les médecins cubains, et que près de 30 000 étudiants internationaux suivent des études gratuites à Cuba (2).

L'ambassadeur cubain à Genève, Juan Antonio Fernández, a fustigé le rapport de Chanet. « L'mage de Cuba qu'elle présente est l'image médiatique que les transnationales de désinformation projettent, celle qui se fabrique artificiellement dans les laboratoires de la CIA et de la Maison-Blanche », a-t-il souligné. « Mais la réalité [.] est autre. C'est celle qui n'apparaît pas dans ses rapports. C'est celle d'une Cuba [.] qui envoie des légions de médecins pour sauver des vies et atténuer les souffrances, depuis les hauts sommets de l'Himalaya et les plaines africaines, jusqu'aux collines de Caracas », a-t-il ajouté. « C'est celle qui apporte la lumière de l'éducation à ceux qui ne savent ni lire ni écrire, depuis la Haïti voisine jusqu'à la lointaine Océanie ». Puis, en guise de conclusion, il a dénoncé le double standard de la représentante qui « aurait beaucoup de choses à dire sur Cuba, mais préfère ne pas le faire pour ne pas incommoder les puissants (3) ».

La performance de Chanet a été qualifiée de « farce » par de nombreux membres. Elle a été si peu appréciée que dès le 19 juin 2007, le Conseil a décidé de révoquer définitivement son mandat, malgré les énormes pressions de Washington - dont des appels personnels du président Bush. Cette décision met un terme à près de 20 ans d'hypocrisie de la part du monde occidental. En effet, fortement influencée par les Etats-Unis, l'ancienne Commission des droits de l'homme - dont le discrédit et la politisation lui avaient valu de passer de vie à trépas - avait imposé ce mandat discriminatoire à l'égard de l'Île des Caraïbes. La stigmatisation du gouvernement de La Havane pour de supposées violations des droits de l'homme permettait à Washington de justifier l'imposition de sanctions économiques inhumaines contre la population cubaine. La majorité des 47 pays membres du Conseil a ainsi décidé d'en finir avec près d'un quart de siècle de duplicité (4).

Cette décision n'a pas été du goût des Etats-Unis qui, d'ailleurs, n'avaient même pas réussi à se faire élire comme membres du Conseil en avril 2006 (alors que Cuba avait obtenu 135 voix), tant ils sont frappés de discrédit au niveau international. Le porte-parole du Département d'Etat, Sean McCormack, a fait part de sa « déception » et a dénoncé le choix du Conseil. Le dernier prétexte qui permettait à Washington de justifier sa politique irrationnelle à l'égard de Cuba vient de disparaître (5).

Du côté de Cuba, le ministre des Affaires étrangères, Felipe Pérez Roque, s'est félicité de l'initiative. « Il s'agit d'une victoire retentissante, indiscutable et historique qui a mis à mal les manipulations des Etats-Unis contre Cuba à Genève ». La prise de position de la communauté internationale à l'égard de la nation caribéenne démontre, une fois de plus, que l'administration Bush est isolée sur cette question. Même l'Union européenne, pourtant si fidèle à Washington, n'a pas osé s'opposer à la décision ; opposition qui aurait été de toute façon vaine puisque la résolution disposait d'une majorité de 25 membres (6).

L'Union européenne

Le 18 juin 2007, le Conseil des Affaires étrangères de l'Union européenne a adopté plusieurs « conclusions sur Cuba » et a proposé un « dialogue politique intégral et ouvert avec les autorités cubaines [.] sur des bases réciproques, d'intérêt mutuel et non discriminatoires ». Il convient de rappeler que sous la pression des Etats-Unis, l'Union européenne avait adopté une « position commune » à l'égard de Cuba en 1996, toujours en vigueur, et des sanctions politiques et diplomatiques en 2003, officiellement à cause de la « situation des droits de l'homme ». Ce revirement de la politique étrangère de l'Europe s'explique de manière très simple : la stratégie européenne, calquée sur celle de Washington, a lamentablement échoué. Le gouvernement de La Havane ne comprend pas le langage de l'intimidation et de la menace (7).

Bruxelles évoque un dialogue « sur des bases réciproques [.] et non discriminatoires » concernant les droits de l'homme, faisant une nouvelle fois preuve de duplicité. En effet, la base « non discriminatoire » est impossible à mettre en place puisque le seul pays d'Amérique latine châtié par l'Europe - continent où pourtant les violations des droits de l'homme sont terrifiantes - est Cuba. Cette discrimination est d'autant plus surprenante que selon le rapport annuel 2006 de la plus prestigieuse organisation internationale des droits de l'homme, Amnesty International, Cuba est le pays qui respecte le mieux les droits de l'homme sur le continent américain, du Canada jusqu'à l'Argentine (8).

C'est la raison pour laquelle le gouvernement cubain a déclaré que de nombreux obstacles subsistaient avant que ne soit possible une normalisation des relations entre Cuba et l'Europe. « Avec Cuba, seul sera possible un dialogue entre pays souverains et égaux, sans conditions ni menaces en suspens », a déclaré le Ministère des Affaires étrangères cubain. « Si l'Union européenne désire un dialogue avec Cuba, elle doit éliminer définitivement ces sanctions qui depuis lors sont inapplicables et insoutenables ». Le gouvernement cubain a également regretté « la persistante et humiliante subordination » de Bruxelles à Washington, qui l'a amené à recevoir officiellement Caleb McCarry, le proconsul officiellement désigné par George W. Bush et chargé d'orchestrer le renversement du gouvernement de La Havane. Cuba a souligné par la même occasion l'hypocrisie de l'Europe qui ne dit mot « sur les tortures nord-américaines dans la Base navale illégale de Guantanamo, qui usurpe un territoire cubain », pour conclure diplomatiquement : « C'est l'Union européenne qui doit rectifier les erreurs commises envers Cuba (9) ».

Pour ce qui est de la base « réciproque », le second rapport de la Commission des questions juridiques et des droits de l'homme de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe permet d'évaluer l'autorité morale de Bruxelles à s'ériger en juge. Le rapport en question, rendu public le 7 juin 2007, porte sur les « détentions secrètes et transferts illégaux de détenus impliquant des Etats membres du Conseil de l'Europe (10) ».

Le rapport, présenté par le rapporteur suisse Dick Marty, est accablant et évoque des enlèvements, des disparitions et des actes de torture contre des individus, en flagrante violation des normes internationales :

« Ce qui n'était auparavant que des allégations est désormais une certitude : de nombreuses personnes ont été enlevées de divers endroits un peu partout dans le monde pour être remises à des pays où elles étaient persécutées et où il est notoire que l'on pratique couramment la torture. D'autres ont été détenues arbitrairement, sans accusations précises à leur encontre, soustraites à tout contrôle judiciaire - dans l'impossibilité de se défendre. D'autres encore ont tout simplement disparu de la circulation pendant des périodes indéfinies et ont été enfermées dans des prisons secrètes, y compris dans des Etats membres du Conseil de l'Europe, dont l'existence et les activités ont été cachées depuis lors (11) ».

De nombreuses victimes de cette opération étaient en réalité totalement innocentes, et n'avaient strictement rien à voir avec les réseaux terroristes, note le rapport :

« Ailleurs, d'autres personnes ont été transférées à des milliers de kilomètres dans des prisons dont elles ne connaîtront peut-être jamais la situation géographique, soumises à des interrogatoires incessants, abusées physiquement et psychologiquement, avant d'être relâchées car elles ne correspondaient tout simplement pas aux individus recherchés. Ces dernières, après le calvaire subi, ont été libérées sans un mot d'excuse, ni aucune indemnité (12) ».

L'Union européenne, souligne le rapport, est responsable de ces actes de barbarie à grande échelle car sans « sa collaboration », la stratégie mise en place par l'administration Bush n'aurait jamais été rendue possible. « Parmi ces partenaires, comme nous l'avons déjà illustré dans le rapport du 12 juin 2006, [se trouvent] plusieurs Etats membres du Conseil de l'Europe ». En plus de leur participation avérée à ces actes d'enlèvement, de disparition et de torture, « beaucoup de gouvernements ont tout fait pour masquer la vraie nature et l'ampleur de leurs activités et persistent dans leur attitude non coopérative (13) ».

Marty rapporte également que ces actes sont « inadmissibles aux yeux des lois des pays européens qui, pourtant, les ont tolérés, voire ont activement collaboré à leur mise en oeuvre». Le rapport dénonce l'« apartheid juridique » créé par Washington et Bruxelles car les mesures extrêmes sont prévues « seulement pour des personnes non américaines », ce qui « témoigne d'une mentalité de supériorité exaspérée ». Là encore, « la responsabilité n'est pas seulement du côté américain, mais aussi et surtout des gouvernants politiques européens qui ont sciemment accepté cet état des choses (14) ».

Pour occulter leur implication dans ces crimes, des nations comme l'Allemagne et l'Italie ont fait « obstacle à la recherche de la vérité en invoquant la notion de 'secret d'Etat' », ce qui est « inacceptable dans une société démocratique fondée sur le principe de la prééminence du droit ». Les centres de détentions, « gérés par la CIA », ont bien existé « en Pologne et en Roumanie », avec l'accord des « plus hautes autorités de l'Etat (15) ».

Marty conclut que les « violations des droits de l'homme commises sur le territoire des Etats membres du Conseil de l'Europe [.] constituent une violation de la Convention européenne des droits de l'homme », et de la plupart des normes internationales. Il met directement en cause « le Conseil de l'Europe, l'Union européenne et l'OTAN ». De plus, il ne subsiste plus aucun doute au sujet de l'existence et de l'ampleur de ces opérations illégales : « les éléments qui démontrent l'existence de violations des droits fondamentaux de l'homme sont concrets, sérieux et concordants (16) ».

Le rapport, tout en soulignant que « le recours à l'abus et à l'illégalité constitue en réalité un échec cinglant de notre système », récuse également l'argument de la nécessité de la lutte contre le terrorisme pour justifier de tels actes :

« Le recours systématique à des actes illégaux, la violation massive des droits fondamentaux de la personne et le mépris des règles de l'Etat fondé sur la prééminence du droit ne peuvent être justifiés par la lutte contre le terrorisme. Non seulement parce que de tels moyens sont contraires à l'ordre constitutionnel de tout pays civilisé et sont éthiquement inadmissibles, mais aussi parce qu'ils ne sont pas efficaces dans l'optique d'une véritable réponse durable au phénomène du terrorisme (17) ».

Marty condamne enfin un « inquiétant processus d'érosion des libertés et des droits fondamentaux » qui touche les citoyens européens eux-mêmes et critique l'hypocrisie dont fait preuve Bruxelles :

« Les gouvernements profitent de la peur suscitée par la menace terroriste pour restreindre arbitrairement les libertés fondamentales. En même temps, ils ignorent des phénomènes bien plus meurtriers dans d'autres régions, ou font preuve d'une passivité déroutante. Pensons seulement à la traite des êtres humains ou au trafic d'armes (comment est-ce possible, par exemple, que des avions chargés d'armes continuent d'atterrir régulièrement au Darfour où se consomme une tragédie humanitaire avec des dizaines de milliers de victimes ?) (18) ».

Comme l'illustre le second rapport présenté par Dick Marty, Bruxelles est totalement dénuée de légitimité morale et éthique pour disserter sur la question des droits de l'homme. L'Union européenne souffre d'un discrédit tellement important à ce niveau qu'elle ne peut pas être prise au sérieux dès lors que, se référant à Cuba, elle évoque fallacieusement les principes inscrits dans la Déclaration universelle de 1948. En réalité, tel un valet fidèle et zélé des Etats-Unis, elle utilise ce prétexte car elle a du mal à accepter l'indépendance de la patrie de José Martí.

L'Europe souffre d'un énorme complexe d'infériorité à l'égard de Cuba. En effet, elle n'a jamais été capable de traiter les Etats-Unis comme l'a fait Fidel Castro depuis 1959. Bruxelles a toujours fait preuve d'une subordination peu glorieuse à l'égard de Washington et n'accepte pas le fait que le gouvernement de La Havane ose tenir tête à la première puissance avec tant de constance et d'irrévérence. C'est ce mélange de frustration, de veulerie et de honte qui explique pourquoi le Vieux continent est incapable d'adopter une position rationnelle et indépendante dans ses relations avec Cuba.

Notes
1 Fausto Triana, « Abrumador respaldo a Cuba en COnsejo de Derechos Humanos », Granma, 13 juin 2007 ; Felipe Pérez Roque, « Veamos si la UE mantiene su postura contra Cuba tras recharzarla en el COnsejo de Derechos Humanos », Rebelión, 22 juin 2007.
2 Ibid.
3 Juan Antonio Fernández, « Texto íntegro de la intervención del jefe de la misión permanente de Cuba ante organismos internacionales, en el V período d Sesiones del CDH », Granma, 13 juin 2007.
4 Felipe Pérez Roque, « Veamos si la UE mantiene su postura contra Cuba tras recharzarla en el Consejo de Derechos Humanos », op. cit.
5 Will Weissert, « Cuba Cheers End to U.S. Abuse Monitoring », The Associated Press, 20 juin 2007.
6 Ibid.
7 Ministère des Relations extérieures de la République de Cuba, « Déclaration du sur les conclusions du Conseil des Relations extérieures de l'Union européenne sur Cuba. C'est l'Union européenne qui doit rectifier les erreurs commises envers Cuba», Granma, 22 juin 2007.
8 Salim Lamrani, Cuba, l'Union européenne et les droits de l'homme (Pantin : Le Temps des Cerises, 2007), à paraître.
9 Ministère des Relations extérieures de la République de Cuba, « Déclaration du sur les conclusions du Conseil des Relations extérieures de l'Union européenne sur Cuba. C'est l'Union européenne qui doit rectifier les erreurs commises envers Cuba», op. cit..
10 Commission des questions juridiques et des droits de l'homme de l'Assemblée parlementaire, Détentions secrètes et transferts illégaux de détenus impliquant des Etats membres du Conseil de l'Europe : 2e rapport, Conseil de l'Europe, 7 juin 2007.
11 Ibid., p. 3.
12 Ibid., p. 3.
13 Ibid., p. 3.
14 Ibid., p. 3.
15 Ibid., p. 4.
16 Ibid., p. 4.
17 Ibid., p. 5.
18 Ibid., p. 5.
Salim Lamrani est enseignant, écrivain et journaliste français, spécialiste des relations entre Cuba et les Etats-Unis. Il a notamment publié Washington contre Cuba (Pantin : Le Temps des Cerises, 2005), Cuba face à l'Empire (Genève : Timeli, 2006) et Fidel Castro, Cuba et les Etats-Unis (Pantin : Le Temps des Cerises, 2006).


Cuba: Fighting capitalism’s climate crisis

James Haywood
Green Left Weekly 25 July 2007 Issue #718

“Cuba has an energy policy whose core concept is to rely less and less on hydrocarbons and give greater space in the energy balance to renewable sources like solar, wind, tide, and water. Cuba has put in place a conservation system that starts at house level and continues to the public sector and cooperative farms, by substituting incandescent lamps by fluorescent bulbs, distributing energy-saving household appliances, and revamping the national power grid” — Prensa Latina news service, June 8.

Much has been written about health care and education in revolutionary Cuba, but the country’s fight against capitalism’s destruction of the environment is equally remarkable.

The clean-up of Havana Bay, which involves more than 40 local People’s Councils, is just one example of the high priority given to the environment by the Cuban government. It is much more than a simple clean-up: Cuba’s holistic approach to the environment can be seen in the way it dealt with the river Luyano, which was accumulating organic waste from four large slaughterhouses that were contaminating the water. To ensure that the pollution didn’t recur, the Cubans implemented a simple yet dramatic fix: they relocated the slaughterhouses. Imagine that even being considered in a capitalist country!

Another example is a wind park recently opened in the municipality of the Isle of Youth to provide 10% of the municipality’s electrical needs. That’s impressive enough, but so too is the approach to construction: work began on it in August last year and by January one machine had already begun delivering power. What’s more, because ferocious storms affect the area, the entire wind farm is designed to be dismantled within three hours.

Mass mobilisations

The list of initiatives is endless; from investing in better piping to stop leaks and save water, to the South Coast Project, which is cleaning up the environment along a 142-kilometre strip of coastline south of Havana Province and improving the lives of the people in the area at the same time.

This is really the key point — Cuba is not imposing green policies on the masses, it is mobilising the Cuban people to confront climate change and environmental degradation.

Cuba’s response to the UN Climate Change Conference’s call for 140 billion trees to be planted in 10 years is a case in point. The Ministry of Agriculture mobilised people through mass organisations such as the Committees for the Defence of the Revolution (CDRs) and the Federation of Cuban Women: 24.3% of Cuban land now is planted with trees.

In Cuba: Beyond the Crossroads (IMG Publications 2006), Ron Ridenour described a similar mobilisation to distribute energy-saving light bulbs: “Many of the nation’s youths were being organized to conduct social tasks and save on energy. In 2005, these social workers — mostly university students on study leaves — began going door-to-door replacing filaments and light bulbs with new ones which save enormous amounts of energy and reduce dangerous carbon pollution. The first bulbs are provided courtesy of the government. By the end of the year, five million people had been served. By summer 2006, as predicted, the policy was implemented nationwide, and energy savings alone from the new lights had tripled … [Cuba] is the only country in the world to implement a universal low-energy, low-polluting lighting policy. By summer 2006, the low-energy, low-polluting bulbs are the only ones sold in Cuban stores.”

Today Cuban social workers are helping other Caribbean nations to convert to energy-saving light bulbs. Crofton St Louis, a member of the British Cuba Solidarity Campaign, was in Grenada during this effort: “I only knew of the scheme when two young Cubans visited me … and offered to make the no strings attached switch. I agreed and the two young men set about the task. As I looked out I saw teams including young women in their distinctive red T-shirts going from door to door in the neighborhood.” (CubaSi, spring 2007.)

Urban farming

In the early 1990s, Cuba lost almost three-quarters of its trade due to the collapse of the USSR. During this time, which they refer to as the “Special Period”, Cuban workers were forced to improvise and work with whatever was available. Oil, for example, was scarce and agricultural labourers had to abandon tractors for oxen.

An important result of the Special Period was the growth of urban agriculture. Workers in cities were encouraged to grow their own fruit and vegetables on allotments, balconies and virtually every other open space. The organoponicos, as they are called, today account for 90% of fruit and vegetables consumed in Havana.

This move away from massive industrial farming based on toxic pesticides and monocultural export crops has led to more sustainable farming in Cuba, and an improved diet for the population.

At the same time, Cuban agriculture has been shifting from dependence on sugar to a wider variety of food crops in an effort to become more self-sufficient. Such changes could have been very disruptive, but when they began in April 2002, the Cuban government offered sugar workers the choice of moving to new workplaces or going back to school to learn new skills, and in either case guaranteed that they would earn at minimum the same wages they had been receiving.

Biofuels and energy

Other Third World countries are also going through big changes in agriculture — but the change is in the other direction, away from food towards monoculture crops for the biofuel industry. Fidel Castro’s first political statements since his recent illness (published in the Socialist Voice pamphlet Fidel Castro on Global Warming, Biofuels and World Hunger), attacked this disgraceful development.

He described how First World capital would “lend funding to poor countries to produce corn ethanol, based on corn or any other food, and not a single tree will be left to defend humanity from climate change”. In effect, some semicolonial countries could be coerced into converting their agriculture entirely to ethanol production, leaving their populations to starve.

He developed this point in an article published on May Day: “The struggle against hunger — and there are some two billion people who suffer from hunger in the world — will be seriously impaired by the expansion of land taken over by agrifuel crops. Countries where hunger is a universal scourge will bear witness to the rapid transformation of agriculture that would feed the insatiable demand for fuels needed by a civilization based on their irrational use. The only result possible is an increase in the cost of food and thus, the worsening of the social situation in the South countries.

“Moreover, the world population grows 76 million people every year who will obviously demand food that will be steadily more expensive and farther out of their reach.”

In a May 22 article for Granma, he wrote: “The dangers for the environment and for the human species were a topic that I had been meditating on for years. What I had never imagined was the imminence of the danger. We as yet were not aware of the new scientific information about the celerity of climatic changes and their immediate consequences.”

Castro has called for “an immediate energy revolution”. He pointed out that far from fighting climate change, the move to biofuels such as ethanol will actually make things worse. “The engines of tractors, harvesters and the heavy machinery required to mechanize the harvest [of ethanol] would use growing amounts of hydrocarbons. The increase of mechanization would not help in the prevention of global warming, something that has been proven by experts who have measured annual temperatures for the last 150 years.”

No capitalist head of state, anywhere, has spoken so insightfully on the ecological crisis.

Sustainable development

As a result of its efforts to defend its environment, Cuba is the only country in the world that meets internationally recognised standards for sustainable living and development, including the World Wildlife Fund’s ecological footprint measure and the United Nations Development Program’s Human Development Index.

In Our History is Still Being Written (Pathfinder Press 2006), Armando Choy, who heads the Working Group for the Cleanup, Preservation and Development of Havana Bay, explained why Cuba has been so successful in protecting its environment: “This is possible because our system is socialist in character and commitment, and because the revolution’s top leadership acts in the interests of the majority of humanity inhabiting planet earth — not on behalf of narrow individual interests, or even simply Cuba’s national interests.”



REPORTAJE: La encrucijada de Cuba
La transición invisible

El régimen cubano se enfrenta a una realidad social que exige cambios políticos y económicos MAURICIO VICENT - El Pais

¿Algo se mueve en Cuba? En apariencia, poco. En el último año, desde que Fidel Castro cedió sus poderes, no ha habido reformas ni cambios visibles en la isla. Lo único evidente es que la Revolución ha sobrellevado sin caos la ausencia de Fidel, pero también que su sistema de gobierno unipersonal ha empezado a transformarse: ahora, las funciones de mando están más repartidas y Raúl, como presidente interino, impulsa un retorno a la institucionalidad, con el Partido Comunista al frente, para preparar la etapa pos-Fidel.

En este nuevo momento, marcado por el retiro de la dirigencia histórica y el dilema esencial de qué reformas hacer para que la Revolución sobreviva a sus fundadores, la palabra transición es tabú. Tampoco se habla de sucesión. En la Cuba oficial, el término elegido para nombrar lo que está ocurriendo es "continuidad". Sin embargo, por encima de los deseos, cada vez hay más indicios de que en la isla ha empezado una transición invisible y que su motor no es otro que las necesidades y expectativas de una sociedad que ha cambiado.

"Poco se parece la Cuba de hoy a la de antes de la crisis del Periodo Especial", constata Rafael Hernández, miembro del Partido Comunista y director de la revista Temas, uno de los raros espacios de debate crítico en la isla. Para este intelectual, "hablar de transición en Cuba tiene la desgracia de que es un término empleado por Estados Unidos y aquellos que tratan de provocar cambios desde el exterior"; dicho esto, si la sociedad ha cambiado profundamente, "es obvio que el socialismo cubano debe transformarse también", asegura.

El 70% de los 11 millones de cubanos nació después de 1959, y tres millones de habitantes tienen menos de 20 años, es decir, sólo han conocido los rigores y el deterioro de los valores de la Revolución. La generación histórica desaparece. Y sus hijos y nietos, que no conocieron los hitos románticos de la Revolución, viven una realidad que nada tiene que ver con la de la Cuba de los sesenta, los setenta o los ochenta. Sus sueños y aspiraciones son muy diferentes de los de aquellos que pelearon en la Sierra Maestra.

Las contradicciones de la sociedad cubana son evidentes. Quebrado el igualitarismo por las crisis y las reformas de los noventa, la dolarización y la dualidad monetaria han dividido a los cubanos: los que dependen del Estado y ganan sueldo en pesos, la mayoría, difícilmente llegan a fin de mes; y la minoría que se mueve en el área dólar disfruta de una Cuba muy diferente. Con las propinas, un empleado en un hotel de La Habana puede ganar 20 veces más que un médico. Pero la inversión de la pirámide social es sólo una parte del problema. "El Estado ya no puede garantizar a los ciudadanos un nivel de vida decoroso, y tampoco permite que la gente se busque la vida por sus medios", explica un economista que trabaja en la Universidad de La Habana. Pone un ejemplo: "El trabajo por cuenta propia, autorizado en 1993, llegó a ser ejercido legalmente por 200.000 personas (en 1995); hoy, las licencias concedidas superan apenas las 100.000".

La alimentación en Cuba es un problema, pero más del 25% de las tierras del Estado está sin cultivar. El Gobierno admite que el camino para "garantizar la irreversibilidad de la Revolución" es producir y mejorar la vida de la gente, pero niega a las ineficientes empresas del Estado capacidad de autogestión y estimular adecuadamente a los trabajadores.

"La realidad se impone; es la sociedad la que está pidiendo a gritos transformaciones", asegura Orlando Márquez, director de la revista católica Palabra Nueva. Por primera vez, el año pasado la población cubana decreció. A juicio de los sociólogos, uno de los factores es que las mujeres jóvenes no quieren tener hijos debido a las dificultades económicas; y por la misma causa, decenas de miles de personas abandonan la isla cada año (sólo a Estados Unidos, de forma legal, marchan anualmente 20.000).

Los campesinos privados, que con el 30% de las tierras producen el 60% de los alimentos, no quieren entregar sus mercancías al Estado si no les pagan más. Una espontánea protesta de intelectuales a comienzos de año puso de manifiesto que heridas del pasado siguen abiertas y que se necesitan espacios de debate crítico.

Después de décadas de persecución, la lucha gay por el respeto de sus derechos es encabezada por Mariela Castro, directora del Centro Nacional de Educación Sexual e hija de Raúl Castro, que promueve la aprobación de una ley en el Parlamento que permitiría las uniones entre parejas del mismo sexo y el reconocimiento del derecho de adopción.

Una de las cosas que más han cambiado en los últimos tiempos es la forma de hablar de la gente. Las habituales quejas sobre la falta de poder adquisitivo de los salarios, los elevados precios de los alimentos o la desgracia del transporte y la vivienda han dado paso a críticas integrales: lo que no funciona e impide el desarrollo económico es el modelo tal y como está concebido hoy, y eso no se resuelve con medidas parche.

En medios académicos ha surgido un intenso debate sobre la necesidad de "repensar" el socialismo cubano y la urgencia de introducir reformas económicas y abrir mayores espacios de participación política. Desde posiciones socialistas, muchos han señalado que el momento es crucial y que postergar los cambios hipotecaría el futuro de la Revolución y las conquistas alcanzadas. En estos ambientes -y también en la calle- se escuchó con atención el discurso pronunciado por Raúl Castro el pasado 26 de julio, en el 54º aniversario del asalto al cuartel Moncada.

El jefe del Ejército dijo que era necesario "transformar concepciones y métodos que fueron los apropiados en su momento, pero han sido superados por la vida", reclamó un enfoque integral para resolver los problemas económicos y anunció "cambios estructurales y de concepto" en la agricultura, que incluirán nuevas fórmulas de gestión productiva y de estimulación salarial. Habló de acometer los cambios sin improvisar, de hacerlos sin levantar expectativas y haciendo notar los resultados. Para muchos, lo importante de este discurso de intenciones fue que por primera vez se admite que el problema es estructural y que la única forma de desarrollar el país es superar los límites que impone el propio modelo socialista.

En apariencia, este año sin Fidel ha sido de inmovilismo. El Gobierno ha adoptado algunas medidas prácticas como revaluar y ajustar las inversiones de las desmesuradas obras de la "Batalla de Ideas"; pagar las deudas estatales acumuladas con los campesinos privados, ascendientes a decenas de millones de dólares; elevar hasta en un 250% los precios "de acopio" que pagaba el Estado a los productores privados de leche y carne; o flexibilizar la política aduanera para importar artículos electrodomésticos, DVD y computadoras por quienes regresan de un viaje.

Medidas insuficientes y casi invisibles, pero que en Cuba tienen dimensión política, pues revierten decisiones que también eran políticas. Hace algunos meses, por iniciativa de Raúl, el Partido Comunista pidió que empresas y autoridades locales hicieran un diagnóstico de los problemas principales y de las medidas económicas que podrían adoptarse, sin invertir, para aumentar la productividad y la eficiencia. La orientación fue presentar cualquier propuesta, hasta las más "audaces".

Los resultados arrojaron que el problema que más constriñe la economía es la hipercentralización, que ha hecho a las empresas perder márgenes de autonomía. Dirigentes de fábricas, hoteles, compañías de transporte y otros sectores fueron consultados, y el reclamo fue unánime: descentralizar, vincular el salario con los resultados del trabajo, cooperativizar servicios como la gastronomía. También, la necesidad de revisar los límites de la propiedad estatal.

¿Cuál es la línea roja? ¿Hasta dónde está dispuesto o puede llegar Raúl Castro en la actual coyuntura? Después de tanto tiempo del mismo modelo de socialismo, mucha gente es escéptica y dice que lo que haga Raúl es sólo para ganar tiempo. Otros aseguran que no, que a sus 76 años, el hermano de Fidel es consciente de que su papel es iniciar y tutelar unos cambios que son vitales para la subsistencia de la revolución y preparar una nueva etapa que no llevará el apellido Castro. Como en los noventa, el momento es clave. Se decide el futuro. José Martí, héroe nacional y el prócer más citado en Cuba, dijo: "En la política, lo real es lo que no se ve". Es una realidad que en la sociedad cubana, la transición comenzó hace tiempo.


El buen baldeo de la críticahttp://www.juventudrebelde.cu/opinion/2007-07-29/el-buen-baldeo-de-la-critica/,

Raul Castro keeps Cuba ticking over
Article from: Reuters By Marc Frank in Havana
http://www.news.com.au/sundaytelegraph/story/0,,22130990-5012774,00.html,

Propiedad Intelectual en el ALBA: De la apropiación capitalista a la reapropiación socialista
Fabián Penahttp://www.aporrea.org/imprime/a38948.html,


MOORE ANUNCIA QUE GOBIERNO DE ESTADOS UNIDOS LE CURSÓ CITACIÓN POR VIAJE A CUBA

POR FRANK MARTIN WORLD DATA SERVICE.- El rebelde cineasta norteamericano Michael Moore divulgó que fue citado por el gobierno de Estados Unidos para que declare sobre una visita a Cuba por la cual lo quieren inculpar por la supuesta violación de las leyes de bloqueo estadounidense contra la Isla, que ya duran casi medio siglo. En declaraciones en Washington, el autor de varios documentales que fustigaron injusticias cometidas por las autoridades de Estados Unidos, entre estos Sicko, el cual trata sobre el desigual sistema de Salud Pública en esa nación, reiteró que el Departamento del Tesoro le tiene una "investigación abierta" por un viaje que hizo a Cuba en el contexto de la producción de esa película. El 7 de mayo pasado esa instancia comunicó a Moore la apertura de tal investigación. Anoche, ante el programa "The Tonight Show", de la televisora NBC, el cineasta reveló que fue citado. "Todavía no se lo he dicho ni a mi familia"..."Ahora tendré que enfrentar este hostigamiento por parte de la administración Bush", precisó. Dijo que para ello contrató al abogado David Boies, el quien defendió a Al Gore en el amañado recuento de votos en Florida que dio la presidencia a Bush en 2000. "Sicko" expone la verdad, subrayó Moore.

WDS - LA CIA USÓ A VENEZUELA COMO LABORATORIO El vicepresidente Jorge Rodríguez, denunció que la Agencia Central de Inteligencia (CIA) de Estados Unidos utilizó durante muchos años a Venezuela como laboratorio para formar el modelo de dictadores impuestos luego en algunos países uramericanos.El segundo del gobierno bolivariano subrayó que en las décadas de 1970 y 1980 se violaron reiteradamente los derechos humanos en Venezuela, y " la CIA probó lo que después ejecutó con profundo éxito en las dictaduras del Cono Sur. Los gobiernos de la época, representados por la clase dominante, recibieron macabros conocimientos de la CIA y desarrollaron una política de Estado basada en la persecución y el asesinato de líderes populares, indicó el vicepresidente Rodríguez.RL/CIC



Brigadista norteamericana elogia sistema social de Cuba (diario Granma)

Kathe Karlson, integrante de la Brigada Venceremos, elogió el sistema social de Cuba y en especial la formación de profesionales de la salud de diversos países que se preparan en la Escuela Latinoamericana de Medicina (ELAM).
En declaraciones a la AIN, la brigadista estadounidense, quien formó parte del contingente 38 de la ''Venceremos'' que regresó este viernes a su país, significó la graduación de la ELAM, institución que en 2007 egresó a casi dos mil médicos de unas 30 naciones, incluidos ocho de Estados Unidos.
Ello refleja la perspectiva que tiene Cuba, donde la medicina es derecho humano y como tal está preparando a los jóvenes para que regresen a sus pueblos y brindar ese servicio, afirmó Kathe Karlson, quien se desempeña como trabajadora social en una escuela secundaria en Nueva York.
Por décima vez en la Antilla mayor, la brigadista manifestó que su viaje forma parte del desafío a la criminal política de la administración del gobierno de los Estados Unidos y de la campaña contra el bloqueo económico, comercial y financiero que ha impuesto esa nación norteña hacia el país caribeño por casi cinco décadas.
Cada vez que regresamos de Cuba realizamos actividades para que la gente sepa, pues allá hay poca información y es necesario decirle al pueblo norteamericano lo que hemos visto, sentenció la joven, una de los 58 integrantes del contingente número 38 de la Brigada Venceremos, compuesta en su mayoría por estudiantes universitarios.
Hago este desafío porque es mi derecho de viajar a Cuba, este país es mi amigo, recalcó Kathe Karlson, al tiempo que se refirió a la prohibición por el Departamento del Tesoro que en los últimos años proponen multas que superan los seis mil dólares.
Manifestó entre las proyecciones de la Brigada el incremento de las acciones para unir a más personas en aras de lograr la liberación de René González, Ramón Labañino, Gerardo Hernández, Antonio Guerrero y Fernando González, los cinco héroes cubanos presos injustamente en cárceles del imperio por luchar contra el terrorismo.
Durante su estancia en Cuba, desde el 13 hasta el 27 de julio, la Brigada Venceremos, realizó su aporte en labores agrícolas y sostuvo un encuentro con combatientes de la Sierra Maestra y compañeros del Comandante Ernesto Che Guevara.
Además visitaron la ELAM, y conocieron la realidad de la Isla a partir de conferencias, recorridos y contactos con el pueblo.


EEUU y Cuba se disputan diplomacia de la salud en Centroamérica

Por Alberto BarreraACAJUTLA, El Salvador (Reuters) - Una inmensa nave blanca se alza imponente atracada en el puerto salvadoreño de Acajutla, como muestra de la disputa que mantienen Estados Unidos y Cuba, apoyada por Venezuela, para brindar servicios de salud en la empobrecida Centroamérica.
El USNS Comfort, un hospital flotante de 272.5 metros de largo y 32,2 metros de ancho, inició el viernes una semana de servicios médicos gratuitos, pero en una zona donde servicios médicos cubanos ya se adelantaron a la "diplomacia de la salud" que impulsa el Gobierno de George W. Bush.
El Comfort, con una longitud equivalente a tres campos de fútbol y una altura similar a un edificio de 10 pisos, visitó antes Belice, Guatemala, Panamá y Nicaragua para llegar luego a Acajutla, en el sureste del país.
Aunque el barco permanecía solitario, solo para algunas operaciones quirúrgicas y recibir la visita del presidente Elías Antonio Saca, cientos se aglomeraban en un centro de atención en la ciudad para ser atendidos.
El mandatario estadounidense anunció el periplo del buque durante cuatro meses antes de su gira en marzo por cinco países latinoamericanos y los consideró como el mejor embajador de su diplomacia actual.
Además de Centroamérica, la gira del Comfort proveerá servicios médicos en Perú, Ecuador, Colombia, Haití, Trinidad y Tobago, Guyana y Surinam, hasta un aproximado de 85.000 personas y 1.500 intervenciones quirúrgicas.
Afuera en la Unidad Médica, Blanca Mendoza, una mujer de 41 años que padece de gastritis, se mostró agradecida: "está bien el trato que le dan a uno. Este tipo de servicios no lo dan (normalmente) sólo viniendo personal así (extranjero) lo tratan bien."CUBA Y VENEZUELA A LA OFENSIVA
Con estas unidades médicas, Estados Unidos busca mayor presencia en zonas donde están pisando fuerte los servicios de salud de Cuba y Venezuela, los principales opositores a Washington en la región.
En Honduras, donde anualmente llegan unas 15 brigadas médicas del Comando Sur estadounidense, hay actualmente más de 300 médicos y paramédicos cubanos en hospitales de ciudades y poblados rurales y existe un hospital oftalmológico en Villa de San Francisco, un poblado rural en el centro del país.
Honduras es el tercer país más pobre de América después de Haití y Nicaragua, por lo que toda ayuda es necesaria.
"Honduras está abriendo fronteras hacia Cuba, un país que nos está brindando cooperación médica," dijo recientemente el presidente Manuel Zelaya.
La ayuda de Cuba ha sido reforzada por el aporte económico de Venezuela, quienes juntos iniciaron hace tres años la "Operación Milagro," un plan de salud, principalmente oftalmológico, que pretende ayudar a millones de personas en el continente.
"El Comfort, con más de 800 personas a bordo entre personal médico y tripulación, no podrá atender gran número de ciudadanos. Es imposible realizar programas por episodios," criticó el líder cubano Fidel Castro en el periódico Granma el 14 de julio.
Cuba también inauguró este año hospitales oftalmológicos en Panamá y Nicaragua, en la que miles de empobrecidos residentes han sido beneficiados con costosas operaciones.
En el hospital Omar Torrijos, en la provincia panameña de Veraguas, fueron operados 4.276 pacientes desde marzo.
"Este es un esfuerzo de Cuba para ayudar a miles de personas que no tienen acceso a los servicios oftalmológicos por los altos costos," dijo a Reuters el Encargado de Negocios en funciones de la embajada cubana, Francisco Fernández.
También en un hospital similar en Ciudad Sandino, cerca de Managua, médicos cubanos realizan desde mayo unas 60 operaciones diarias y se anunció que pronto serán instalados dos hospitales de campaña en el caribe nicaragüense.
"La meta es que en 10 años, que fue el compromiso inicial que llegaron el presidente Chávez y el presidente Fidel Castro, era operar a seis millones de latinoamericanos," dijo a Reuters Franklin Coronado, segundo secretario de la embajada venezolana en Managua.
Mientras, el Comfort realizó 95 operaciones de todo tipo y dio asistencia médica en tierra a unos 5,000 nicaragüenses en el puerto de Corinto, sobre el Pacífico, y en Panamá realizó unas 400 cirugías en diferentes especialidades y atendió a miles en consulta general.

Fidel Isn't Dead, But Long Live Raul By Tim Padgett/Miami- Time-CNNhttp://www.time.com/time/printout/0,8816,1647874,00.html


La révolution silencieuse du monde rural cubainhttp://www.lefigaro.fr/international/20070728.FIG000000767_la_revolution_silencieuse_du_monde_rural_cubain.html,



Lawmakers lukewarm on proposed Cuba policy changes
CQ Researcher- newsobserver.comSeveral pending bills call for altering or scrapping major elements of U.S. policy toward Cuba, including the U.S. trade embargo and travel restrictions.
Bills by Rep. Charles Rangel, D-N.Y., and Sens. Byron Dorgan, D-N.D., and Michael Enzi, R-Wyo., would remove all travel limits. Rep. William Delahunt, D-Mass., proposes just removing Bush administration restrictions on family visits to Cuba.
Supporters of the Delahunt proposal argue that it stands a better chance of passing than an abolition of all restrictions. They also argue that if the travel ban were lifted for all Americans, Cuban authorities would feel free to block access by Cuban Americans, who are seen as carriers of the democracy virus.
"My biggest worry is that they might have enough tourist dollars from all Americans that they might block Cuban Americans from entering," Carlos Saladrigas of Miami, co-chair of the Cuba Study Group.
Those who support an end to the ban argue that Delahunt's limited ban amounts to thinking small.
"I'm worried about incrementalism," said Julia Sweig, Latin America Studies director at the Council on Foreign Relations, who added: "We need a broader policy that reflects our national interest, and right now we don't have one. ... The better approach to take, in my view, is to say: Let a thousand flowers bloom legislatively, in terms of travel, in terms of getting rid of the embargo."
Nevertheless, the incremental approach has cropped up elsewhere. A provision inserted in spending legislation would eliminate restrictions on agricultural sales to Cuba. Bush threatened to veto the bill if it reaches his desk.
"Lifting the sanctions now ... would provide assistance to a repressive regime at the expense of the Cuban people," Bush said.
But the sales restrictions have long been unpopular in farm states. Rep. Jerry Moran, R-Kan., who authored the provision, noted that the United States trades freely with other repressive countries, including China.
"Why the double standard?" Moran asked.
Havana-born Rep. Lincoln Diaz-Balart, R-Fla., a staunch sanctions supporter, expects no immediate major changes in Cuba policy. He says an "overwhelming consensus" supports maintaining sanctions against Cuba until it meets democratic standards, including the release of political prisoners.


A New Chapter in U.S.-Caribbean RelationsPress Release: Council on Hemispheric Affairs http://www.scoop.co.nz/stories/print.html?path=WO0707/S00389.htm,



Sobre el guerrillerismoPresentación, por Eugenio Grecohttp://www.rebelion.org/docs/54261.pdf,


El Socialismo del Ché Guevara y de Raúl Baduel: El Verdadero Socialismohttp://www.rebelion.org/noticia.php?id=54260,

Arthur Shaw: We look at the concept and at the reality of democracy...

VHeadline.com's Houston-based commentarist Arthur Shaw writes: When we look at the concept and at the reality of democracy chiefly from the representative side rather than from the participatory side, the minimalist picture looks something like this. http://www.vheadline.com/printer_news.asp?id=75030,

Cuban exiles in Miami let down after a year without Fidel

By Juan de la Vina - Miami - The euphoria seen in Miami after Cuban leader Fidel Castro's first-ever transfer of power to his brother Raul has turned into outright disappointment one year after the handover.

On July 31, 2006, Miami was boiling with activity: Fidel had 'temporarily' given up power to undergo surgery for intestinal bleeding.

Cuban exiles in Little Havana, Hialeah and other parts of Southern Florida, carried Cuban flags, honked their car horns and shouted anti-Castro slogans, along with symbolic expressions like 'Viva Cuba' and 'Libertad' (freedom).

Others celebrated by the restaurant Versalles and its surroundings - a meeting point favoured by Cuban exiles - until late into the night and over the following days as the news spread like wildfire.

The jubilant mood has since changed.

'There has been a sort of let down, because people always expected that when (Fidel) Castro was no longer directly in power his absence would provoke more solid symptoms of some change in the country,' Ramon Saul Sanchez, leader of the Democracy Movement, told Deutsche Presse-Agentur dpa.

The transfer of power in Havana led many in Miami to cheer, thinking it was a historic moment that would pave the way for the inevitable transformation of Cuba. But Sanchez believes Raul Castro has done little to open up the country.

'(Fidel) Castro is no longer directly giving orders ... But the same crude policy continues, of repression against the civic opposition in the country,' Sanchez said. 'In fact, dissidents have been jailed, repudiation acts continue, so the iron policy against the peaceful opposition has not died down.'

Twelve months have gone by since Fidel Castro underwent surgery, yet on both sides of the Florida Strait life goes on as normal. The 80-year-old Cuban president has made no public appearances and speaks only through the occasional video and articles in the state- controlled media.

But anti-Castro activists are not ready to give up hope just yet.

'We still think that this process is irreversible for this regime by now. I mean, the deterioration is going to continue. Those of (Fidel's) generation, who have done so much harm to Cuba, are going to disappear gradually,' said Sanchez.

Sanchez has fought for the rights of Cuban exiles in the United States and went on hunger strike several times in protest of the return of Cubans found at sea.

'Over 50 years the Cuban government has not managed to rejuvenate the revolutionary project it championed and never accomplished, because in Cuba there is really only a dictatorship that keeps the people in huge scarcity,' Sanchez said.

'And although there have not been changes in Cuba, for us it is the beginning of the end of that tyranny which will force Raul to carry out reforms when Fidel Castro is not on the Cuban scene, due to internal and external pressures,' he added.

The civil rights activist said that if the Cuban government does not introduce reforms that help the Cuban people, 'conditions can worsen in such a way that they lead to a social explosion with incalculable consequences.'

As Miami's Cuban exile community looks toward Cuba with one eye, they watch the United States with the other. There too, exiles see a danger in the fact that more and more people are speaking against the decades-long embargo the US has kept in place against Cuba.

While the embargo still stands, voices have risen over the past year against sanctions and in favour of opening up trade with Cuba. Another attempt to soften the embargo was defeated Friday in the US Congress.

Tomas Robaina, of the Domino Network association, said he recently travelled to Washington to 'inform' members of Congress of those fears.

'We have to remind (the United States) more than ever of the atrocities that are committed in Cuba. We feel that outside Miami there is not as much understanding,' Robaina said. © 2007 dpa - Deutsche Presse-Agentur