Tuesday, July 31, 2007

Raul Castro préside le concert organisé en hommage à Frank Pais

Santiago de Cuba (RHC)--. Le général d'armée Raul Castro, premier vice-président cubain, a présidé le concert organisé à Santiago de Cuba à l'occasion du 50e anniversaire de l'assassinat de Frank Pais, un des principaux dirigeants du mouvement 26 juillet dans la clandestinité.
Frank Fernandez, pianiste cubain de renommée mondiale, a joué au piano non seulement des œuvres cubaines dont une bonne partie composées par lui mais encore des œuvres de grands musiciens du monde.
A la fin du spectacle, le général Raul Castro s'est adressé au public réuni au théâtre Dolores qui était jadis une école primaire. Raul a partagé avec le public plusieurs passages de son enfance dans cette école et exprimé sa satisfaction de se trouver de nouveau dans cette ville, la seconde de Cuba.
Plusieurs membres du Bureau Politique du Parti dont Misael Enamorado, premier secrétaire du Parti à Santiago de Cuba, des intellectuels et des combattants de l'armée rebelle et du mouvement 26 juillet se trouvaient dans la salle.
100 000 Santiaguais sont attendus aux hommages organisés pour le 50e anniversaire de l'assassinat de Frank Pais
Santiago de Cuba, 30 juillet, (RHC)--. Plus de 100 000 personnes se sont donné rendez-vous sur la Place Cespedes, en plein centre de Santiago de Cuba, pour rendre hommage à Frank Pais, dirigeant du mouvement 26 juillet dans cette ville, assassiné par les sbires de Batista, le 30 juillet 1957.
Les hommages commenceront simultanément au 451 de la rue Heredia où les Santiaguais ont alors rendu hommage à la dépouille mortelle du dirigeant révolutionnaire et à son compagnon de lutte Raul Pujols, dans une ancienne ferme espagnole dans la banlieue de la ville.
Frank Pais et son compagnon de lutte ont été assassinés dans une impasse de Santiago à la suite d'une délation.
Après le rassemblement sur la Place Cespedes, les manifestants ont décidé de suivre l'itinéraire emprunté alors par le cortège funèbre jusqu'au cimetière Santa Ifigenia.
Les rues de Santiago sont ornées de drapeaux cubains et du drapeau rouge et noir du mouvement 26 juillet.
A cette occasion, la maison natale de Frank Pais a rouvert ses portes au public après des travaux de réfection de l'immeuble déclaré monument national.

Le recteur de l'Ecole Latino-américaine de Médecine souligne les valeurs du programme cubain de coopération dans le domaine de la santé
(RHC)--. Le Dr Juan Carrizo Estevez, recteur de l'Ecole Latino-américaine des Sciences Médicales de La Havane, a mis l'accent sur les valeurs éthiques, solidaires et internationalistes du programme intégral de coopération dans le domaine de la santé mis en place par le gouvernement révolutionnaire.
Dans des déclarations à la presse, le Dr Carrizo a rappelé que cette faculté de médecine a ouvert ses portes en 1999 dans le cadre du programme lancé peu après le passage du cyclone Mitch qui a fauché des milliers de vies humaines en Amérique Centrale.
Il a expliqué que le grand but de cette école de médecine est de former de jeunes issus de familles pauvres devant prêter leurs services dans leur communauté d'origine ou dans des endroits reculés de leur pays.
Il a souligné que les valeurs humaines, éthiques, solidaires et internationalistes des étudiants et des diplômés sont parmi les réussites de ce programme.
Le Dr Carrizo a expliqué que l'Ecole Latino-américaine des Sciences Médicales de La Havane a d'ores et déjà formé 3 204 jeunes de 28 pays.
Les 508 professeurs de cette faculté donnent les cours de base et les étudiants sont ensuite distribués dans les 21 facultés de médecine du pays.

Plus de 8000 panneaux photovoltaïques sont installés à Cuba
Guantanamo (RHC)--. Plus de 8000 panneaux photovoltaïques sont aujourd'hui installés dans tout Cuba.
René Diaz, ingénieur à ECOSOL solaire, une firme spécialisée dans la construction et montage de ces panneaux solaires, a précisé dans des déclarations à l'agence nationale de presse que dans leur ensemble, ils représentent quelque 3 mégawatts et font tourner les téléviseurs, les magnétoscopes et les ordinateurs de 2 631 écoles installées surtout dans les montagnes des provinces de Santiago de Cuba, de Guantanamo et de Granma.
1 882 salles de vidéo, 460 maisons cabinets de consultation du médecin de la famille et 275 maisons qui ne sont pas branchés au réseau électrique national, bénéficient également de panneaux solaires.
ECOSOL solaire a également conçu, produit et installé des panneaux solaires faisant tourner un millier d'écoles, des cabinets de consultation, des stations d'épuration et de pompage d'eau au Venezuela.
Cette entreprise cubaine produit également des panneaux solaires pour la Bolivie, le Mali, l'Afrique du Sud et le Honduras


QUINTA REFLEXIÓN SOBRE LOS PANAMERICANOSA pesar de todohttp://www.cubamigos.be/nl/node/512,

THE FIFTH REFLECTION ON THE PAN AMERICAN GAMESIn Spite of Everythinghttp://www.cubamigos.be/nl/node/513,

Malgré tout Cinquièmes réflexions sur les Jeux Panaméricains 30 juillet 2007http://www.cubamigos.be/nl/node/511,

La transición en Cuba transcurre con tranquilidad, sin embargo el autor alemán Volker Skierka exhorta a europeos y latinoamericanos a que ayuden a La Habana a salir del aislamiento.http://www.dw-world.de/dw/article/0,2144,2712712,00.html,


Persiste la sombra de CastroEl Nuevo Herald - EL GENERAL Raúl Castro ha asumido las riendas del país sumido en el caos económico. Raúl Castro ha vivido la mayor parte de su vida unos pasos detrás de su hermano Fidel. Lo siguió en las batallas en las montañas contra la dictadura de Fulgencio ...Cuba, un año con Fidel en la sombra ABCFidel Castro sigue en la batalla Adelante CubaMilenio - La Prensa (Panamá) - Unión Radio - La Nueva Españay 561 artículos relacionados » http://news.google.co.ve/news?ned=es_cu&ncl=1155323411&hl=es,


Encendemos esta llama en homenaje al aniversario 50 de la caída de Frank,
y en honor a los que como él integran la infinita galería de nuestros héroes y mártiresPalabras pronunciadas por el Primer Vicepresidente de los Consejos de Estado y de Ministros, General de Ejército Raúl Castro Ruz, en el acto central con motivo del aniversario 50 de la caída de Frank País y Día de los Mártires de la Revolución, en el cementerio Santa Ifigenia de la ciudad de Santiago de Cuba, el 30 de julio del 2007, "Año 49 de la Revolución".http://www.granma.cubaweb.cu/2007/07/31/nacional/artic02.html,

SCSU profs gather news in Cuba

Maria Garriga, Register StaffNEW HAVEN — A pair of professors at Southern Connecticut State University traveled to Cuba recently, seeking clues to the future of press freedoms in Venezuela. The U.S. government officially bans Americans from going to Cuba under most circumstances, but Leon Yacher, a geography professor, and Joseph Manzella, chairman of the anthropology department, have licenses from the federal Department of Treasury to do research in Cuba."We are looking for the influence of the Cuban model on the Venezuelan media," said Manzella, author of "The Struggle to Revitalize America’s Newspapers." They had last visited the island in 1993. Cuba, a nation of 11.3 million, has been under the rule of Fidel Castro and his brother Raul since 1959, when the two led a revolution that ousted Fulgencio Batista, a U.S.-backed dictator. The Castro brothers subsequently imposed a socialist regime and assumed total control of the nation’s press.The professors said they were fascinated by the Cubans’ extensive knowledge of current events in the United States.Cuba’s international version of Granma, its leading newspaper, loaded its front page recently with stories that referred to or focused on the United States. The top story had Raul Castro declaring his willingness for dialogue with the United States, which was followed by a story analyzing potential nominees for the U.S. presidential primaries in 2008.The Cubans also expressed concern about the anti-immigration backlash in the United States and a great admiration for Al Gore. Gore’s 2006 documentary on global warming, "An Inconvenient Truth," was broadcast several times during their trip, they said.The two also were able to interview Cuban media officials, including a four-hour interview with a senior editor at Communist Party-controlled Granma.While the United States’ broadcasts do make it to Cuba, the Cuban media filter the news reports to reflect what the government wants people to see, Manzella said.Both said they were struck by the accuracy of the Cuban media, which often broadcast excerpts from American media reports. "Think of the Cuban media as a well-informed version of Fox News," Manzella said."They don’t lie. They just don’t tell you the other side of the story," Yacher said.Cuba is ranked as one of the most repressive countries in the world toward press freedom by several journalism organizations. The island nation could be the blueprint used by Hugo Chavez as he continues to consolidate power in Venezuela, they said. While most media attention focused on the Venezuelan government’s recent refusal to renew the broadcast license of a television station critical of the Chavez administration, few noted that several newspapers had already been closed down by the government in Venezuela’s rural provinces."Chavez has publicly called Castro his father. The Venezuelans have no idea in five years that you will have a Venezuelan model of Cuba," Yacher said.Yacher spent more than three weeks in Cuba, Manzella five days. They plan to include their research in a book about international press freedom with the tentative title, "Eyes on the World," which compare conditions in Indonesia, South Africa, Venezuela and Kyrgyzstan (an Asian nation wedged between Kazakhstan and China.)



Time is not on his side
By Marifeli Pérez-Stable
He hasn't been seen live in a year. Alas, he did not emerge at the May 1st parade at Revolution Plaza as rumored. Rumors didn't even fly regarding this past July 26 (anniversary of the attack on Moncada Barracks in 1953) and the day before all suspense ended. Raúl Castro -interim president- would preside over the official event in Camagüey.
Fidel Castro, nonetheless, has not been absent. We've seen him on videos and, since late March, in his new career as a columnist. Thus far, more than 30 of his reflections have seen the light of day. Two videos -one in April, the other in June- were of special interest.
In April, video footage without audio -Castro with Wu Guanzheng, a member of the Chinese Communist Party's politburo- was broadcast in China and the rest of the world, but not in Cuba. Cubans saw only photographs of the meeting.
In early June, Nong Duc Mahn -secretary general of the Vietnamese Communist Party- visited Cuba and met with the Comandante. Subsequently, Cuban television showed a so-called interview of 50 minutes with him on June 5. Silent on China, Castro sang Vietnam's praises enthusiastically, though without attributing its progress to market reforms.
With each passing day, the Comandante's return to power becomes more unlikely. We are, indeed, approaching the end of an era. The transfer of power to his brother Raúl has not affected the stability of the regime, as the successor government has risen to the occasion. Evidently, the bar is low due to terrible material shortages, an abysmal lack of freedoms and the leadership's refusal to submit their rule to the will of the citizenry they claim to represent.
Nevertheless, there have been glimmers of positive changes, should they ever come to fruition. The economy -a subject that thanks to Fidelista obstinacy had practically become taboo- has returned to the public eye, even if the proverbial market-opening bull has not been grabbed by the horns. On July 26, Raúl issued a strong criticism of economic performance and hinted some changes were coming.
On three occasions, Raúl Castro has urged the United States to engage in dialogue with Cuba. Twice he did so on dates heavy with symbolism -December 2 when the Granma's landing in 1956 is commemorated and this past July 26. ¿Posturing knowing full well that George W. Bush's Washington won't respond or a genuine urging? I'd say a bit of both.
The Cuban elite faces two central dilemmas. How long will the Comandante -physically or mentally- be among them? Should he not soon depart in one form or another, could Raúl and his generals convince him -as they did in the early 1990s when modest reforms were carried out only to be later suspended by Castro- to give his definitive approval in order to resume and deepen them? Undoubtedly, the economy is the primary front of popular expectation in Cuba and if the anti-market stubbornness persists, the terrible scenario of a social explosion could materialize.
Like Pope Benedict XVI, Raúl Castro is a short-term leader. The pope has yet to shake up the Church for good and probably won't. Still, the Vatican possesses millennial experiences and can tolerate a long interim delay. The Comandante's successors, however, cannot afford the same luxury.
Marifeli Pérez-Stable is vice president for democratic governance at the Inter-American Dialogue in Washington, DC.


Encuentro en Venezuela promoverá el ALBA frente al "capitalismo destructor"

(EFE).- La "VI Cumbre Social por la Unión Latinoamericana y Caribeña", que se inaugura martes, en Caracas, busca ofrecer alternativas al neoliberalismo e impulsar una mayor cooperación entre las regiones del sur.

Así lo indico hoy el diputado venezolano Filinto Durán, en una rueda de prensa de presentación del encuentro, en la sede del Parlamento Latinoamericano en Caracas.

"Se propondrá la Alternativa Bolivariana de las Américas (ALBA) frente al capitalismo destructor, un nuevo contrato social, económico y cultural, y fomentar e impulsar las relaciones Sur-Sur", manifestó Durán.

El ALBA es una alianza creada por el presidente venezolano, Hugo Chávez, para contrarrestar el intento de Estados Unidos de formar el Área de Libre Comercio de las Américas (ALCA), y de ella también forman parte Bolivia, Cuba y Nicaragua.

"Nuestro modelo no es la democracia de sufragio, sino la democracia participativa en la que el Estado es construido desde abajo, desde el pueblo", señaló Durán, presidente de la Comisión de Asuntos Económicos, Deuda Social y Desarrollo Regional del Parlamento regional.

En opinión del diputado, "Venezuela, en este sentido, puede ser ejemplo para el mundo" y puso como modelo "la explosión del poder comunal que promueve el presidente Hugo Chávez".

De acuerdo a la nota de prensa facilitada a los periodistas, la "Cumbre Social" parte de "la convicción de que el sistema capitalista es responsable de la pobreza, marginalidad y la exclusión social en el planeta".

"Queremos recuperar los derechos sociales, económicos, culturales secuestrados por el capitalismo, y con ello dignificar a los pueblos de América", destacó Durán en la rueda de prensa.

El encuentro, que será inaugurado mañana 31 de julio y clausurado el 4 de agosto, contará con la presencia de 110 ponentes internacionales, que participarán en los 30 foros de debate que componen el programa de la VI Cumbre.

El presidente Chávez realizará la instalación de la reunión en un acto formal mañana por la tarde en el Teatro Teresa Carreño de la capital venezolana.

Entre los asistentes, personalidades políticas e intelectuales, están la mayoría de los ministros venezolanos; Ricardo Alarcón, presidente de la Asamblea Nacional de Cuba; Marco Aurelio García, asesor del presidente brasileño Luiz Inácio Lula da Silva, y la viuda del ex presidente francés Francois Mitterrand, Danielle Mitterrand.

Las anteriores ediciones de la Cumbre, cuyo primer encuentro se realizó en 2001, tuvieron todas a Venezuela como escenario, y contribuyeron a la propuesta de una "Carta Social de las Américas", según el comunicado de los organizadores del foro.


Los marxistas y la revolución venezolana http://www.rebelion.org/noticia.php?id=54310,

Políticas de Castoriadis http://www.rebelion.org/noticia.php?id=54345,

El 'socialismo del s. XXI' de Heinz Dieterich: ¿un manifiesto comunista contemporáneo? http://www.rebelion.org/noticia.php?id=54346,

Entrevista con Alexis Ponce, portavoz de la Asociación pro Derechos Humanos de Ecuador:Hay una impresionante maquinaria editorial que repite igual matriz contra Correa, Morales, Kirchner, Ortega, Chávez, Lula y Fidel http://www.rebelion.org/noticia.php?id=54348,

La expresión del amor subversivo de la revolución cubana http://www.rebelion.org/noticia.php?id=54325,


HISTORIA CUBANA: CHÉ: ¿SÓLO UN ARTISTA DE LA GUERRA DE GUERRILLAS? POR FRANCISCO FORTEZA (WORLD DATA SERVICE).- El argentino-cubano Ernesto "Ché" Guevara es identificado frecuentemente como "Guerrillero Heroico", y se le vincula erróneamente sólo con esa faceta de su quehacer. En realidad, opina María del Carmen Ariet, coordinadora científica del Centro de Estudios Ernesto "Ché" Guevara, de La Habana, el legado del revolucionario abarca múltiples aristas, teóricas y prácticas y se afianza a 40 años de su asesinato. Ariet, quien formó parte del equipo multidisciplinario cuyas labores llevaron al descubrimiento de los restos del Ché y casi todos los miembros de su guerrilla en Bolivia, afirma que hay una íntima interrelación entre el argentino y Cuba. "Su leyenda comenzó en Cuba y se la ganó con su coraje y bravura y sus contribuciones a la lucha revolucionaria" un legado que debe examinarse desde que se unió en México a la vanguardia encabezada por Fidel Castro, indicó la socióloga. Ariet recordó que las luchas centenarias revolucionarias cubanas siempre han contado con la participación de combatientes extranjeros, cuyas figuras principales son Máximo Gómez y Ernesto Guevara. El dominicano Gómez estuvo presente en las tres décadas de luchas por la independencia de España, en el siglo XIX y ganó los grados de Generalísimo del Ejército Libertador. El argentino Ernesto Guevara se sumó a los expedicionarios del Granma, fue la segunda persona con los grados de Comandante en el Ejército Rebelde, y con Camilo Cienfuegos repitió la Invasión de oriente a occidente. Luego, cumplió las más diversas tareas para la revolución en el poder, en la defensa, la economía y la formación de una nueva idiosincrasia a partir de que "la juventud es la arcilla fundamental de nuestra obra". De tal forma, se consolidó el mito que había empezado en la Sierra Maestra y continuado en las montañas del centro de la isla y la batalla de Santa Clara, decisiva en la victoria revolucionaria. Su carisma y amplia cultura contribuyeron a una trayectoria ideológica que tuvo un hito en su discurso "Proyecciones Sociales del Ejército Rebelde", en enero de 1959, primera interpretación marxista de la realidad cubana. "Después de eso, apuntó la científica, la gente empezó a preguntarse por él, a seguirlo, porque encontraron que era no sólo el intrépido combatiente guerrillero, sino un hombre de convicciones y principios". Y, continuó la coordinadora científica del Centro de Estudios Ernesto "Ché" Guevara, hallaron que se trataba de un hombre "dedicado de corazón al trabajo diario en cada momento de su vida". No se puede olvidar, en este análisis, que el atractivo del Ché se ejerció pese a que apenas ejerció funciones durante seis años después de la victoria de 1959, pero les transmitió un legado, pese a su multiplicidad, porque las cumplió con calidad. Para dar una idea de sus contribuciones, baste decir -indicó Ariet- que el Ministerio de Industrias que encabezó el Ché se ha multiplicado en estos momentos en seis instituciones diferentes. La científica piensa que la influencia del argentino-cubano descansa en que siempre estudiaba, profundizaba sus convicciones marxistas con extraordinaria visión de futuro, e hizo críticas que después han mostrado su justeza. Según la coordinadora científica del Centro de Estudios Ernesto "Ché" Guevara, fue "un hombre que combinó la teoría y la capacidad de trabajo con un gran coraje", con una misión revolucionaria bien arraigada. Desde que conoció a Fidel Castro en México, recuerda, dejó bien claro que algún día, con la Revolución consolidada, partiría a combatir en otras tierras que requirieran sus esfuerzos, en particular, su natal Argentina. En 1965, pensó que ese momento había llegado y emprendió su proyecto, que ha sido mistificado a veces, pero que, de hecho, se desarrolló mientras participaba de la Revolución Cubana y comprendió mejor las cosas. En ese proceso entendió el camino a seguir y fue de una perspectiva latinoamericana a una global, como dejó plasmado en! el "Mensaje a la Tricontinental", mientras su carta de despedida. Esa misiva, leída en el acto de constitución del Comité Central del Partido Comunista de Cuba por Fidel Castro, hizo claro para muchos que Ché era una persona de una dimensión superior que lo dejó todo por sus ideas, aún al costo de su vida. Ha habido -precisa Ariet- especulaciones sobre supuestas contradicciones entre Castro y Ché que llevaron al argentino-cubano a partir, pero tal interpretación ignora el desarrollo de las ideas de Guevara a lo largo de su vida. Desde mucho antes de unirse a los revolucionarios cubanos, había moldeado sus ideas en la juventud y en Guatemala que le inculcó el concepto de que la lucha armada era la vía para enfrentar la injusticia social. Al hablar de la relación con Castro es necesario recordar que ambos se tenían un enorme respeto y el líder cubano aceptó su condición de marchar a Argentina u otro lugar que lo necesitara, en el momento oportuno. Ambos se han dedicado palabras en las que es obvia la devoción mutua, que descansó en el pensamiento propio y acertado del llamado "Guerrillero Heroico", su honradez y valentía. "Existen muchas interpretaciones erróneas sobre sus ideas y actos, como el discurso en Argelia en el que hizo fuertes críticas a los países socialistas, como resultado de criterios amasados durante largo tiempo", dijo Ariet. Ché no vaciló en expresar lo que creyó, aunque le costó muchas críticas entre algunos en el Partido Comunista de Cuba, que lo consideraron un "hereje" por sus posiciones sobre los errores que veía en la Unión Soviética. Hacer público aquello en aquel momento -puntualizó la especialista- era "increíblemente valiente" y un hecho teórico trascendental, que luego Fidel Castro reconoció. El líder cubano afirmó que si se hubiera hecho caso al "Guerrillero Heroico" se hubiera evitado en mucho el colapso soviético. Esa disputa del Ché con el entorno prevaleciente pasó inadvertido entonces en toda su dimensión. La marcha del Ché, según Ariet, no puede interpretarse como una divergencia con Fidel, sino -como escribió el propio argentino-cubano en su carta de despedida- la expresión de que él podía hacer lo que estaba vedado al líder cubano. Su partida, añadió, hizo que muchos lo vieran en una perspectiva diferente, en la que no han estado exentos conceptos malévolos eventuales sobre sus vínculos con la Revolución Cubana, pero que se desmoronan cuando se ve al Ché con buena voluntad. No faltan quienes han tratado de presentar los conceptos guevaristas como un fracaso, a partir de las experiencias del Congo y Bolivia, pese a que se debieron a falta de condiciones objetivas más que a errores cometidos. Ariet, de su propia conclusión tras estudiar detenidamente la experiencia boliviana en la vida de Guevara, señala que aquel fue un momento crucial llevado a cabo por hombres extraordinarios. La investigadora apunta que influyeron la traición de Mario Monje, dirigente comunista boliviano y que Ché no tuvo tiempo de crear una base para extender las guerrillas en la región, como hacía, porque los acontecimientos se precipitaron. El "Guerrillero Heroico" quería llevar a vías su famoso llamamiento a "crear dos, tres Vietnam", plasmado en el "Mensaje a la Tricontinental", y había condiciones por el estancamiento estadounidense en Vietnam. Se sumaban la existencia de varios frentes en América Latina y el desarrollo de los movimientos de liberación nacional que llevaron al derrumbe del colonialismo en África, para hacer que las ideas del Ché tuvieran un sustento real. El fracaso se debió a fallas humanas y, sobre todo, a envidias que condujeron a quebrar la unidad para alcanzar un propósito común, consideró la coordinadora científica del Centro de Estudios Ernesto "Ché" Guevara. El "Guerrillero Heroico" previó incluso esa posibilidad cuando en su "Mensaje a la Tricontinental" advirtió sobre el papel de esa falta de unidad en demorar la victoria y a que la hegemonía de Estados Unidos se prolongara y costara mucha sangre, dijo. Entre las lecciones de aquel episodio en Bolivia, Ariet estima primero el coraje de los miembros de la guerrilla en hacer de la guerra de guerrillas un instrumento para luchar por la paz y la justicia social. Otro elemento crucial es que Ché pasó a ser un ídolo al ser capaz de abandonar todo para luchar por principios universalmente aceptados, con ideas que han pasado a la vida cotidiana y la gente lo siente como un compañero. Las ideas y acciones del guerrillero argentino-cubano lo hicieron aceptable para diversos sectores y, además de artista de la guerra irregular, fue un teórico con un maravilloso conjunto de conceptos, opina Ariet. Todo eso lo hizo demasiado peligroso para los intereses de los enemigos, quienes hacen todo lo posible para neutralizar el ejemplo que le ganó prestigio de ídolo revolucionario. Ché estará "permanentemente en los corazones y mentes de las personas porque su vida es un imán permanente para la gente y llena las esperanzas de muchos", prosiguió la especialista. Ariet, quien integró el grupo multidisciplinario que encontró los restos del Ché y casi todos sus compañeros, rechazó la campaña enemiga para negar la autenticidad que calificó de error, porque nadie respeta ese tipo de manipulación burda. La investigación -insistió- descansó y se apoyó en métodos puramente científicos y era tan sólida que Alejandro Incháustegui, jefe del equipo de forenses argentinos, dijo que no era necesaria la prueba del ADN, en una entrevista en Santa Cruz, en junio de 1967. Pero, una vez llegados a Cuba los restos, se añadió para tener un expediente completo, aprovechando que había amplios datos de todos los guerrilleros, en particular del Ché, con su peculiar conformación ósea de la frente y la dentadura. Ché se hizo trabajos dentales en México y luego una prótesis para salir enmascarado hacia Bolivia con una identidad encubierta, además de que se le habían hecho múltiples mediciones antropológicas, que eliminaban cualquier posibilidad de errores. La falta de las manos era una buena señal, pero nada definitivo, en comparación con las pruebas científicas, a las que se sumó la de ADN para ratificar las conclusiones a las que se había llegado. El ADN es decisivo, pero sólo se practica hace 2-3 décadas y, dejarlo todo a sus resultados sería negar las identificaciones previas. ¿Es eso un método científico?, preguntó la socióloga. Hacer la prueba en Cuba era muy posible, porque aquí estaban la viuda y los hijos y existían las condiciones. Se llevó a cabo entre la llegada de los restos, en junio de 1967, hasta octubre del mismo año, cuando fueron ubicados en el Memorial de Santa Clara. El Centro de Estudios Ernesto "Ché" Guevara, cuya inauguración todavía no es oficial, aunque labora a todo tren, tiene la misión de investigar sobre la vida y hechos de una personalidad extraordinaria con un pensamiento multilateral amplio y sistemático. Esa amplitud en filosofía, sociedad, economía, política e historia, requiere estudios por temas separados que luego se integran en las grandes vertientes para poder alcanzar su comprensión integral. El Centro rechaza las tendencias para hacer del Ché un producto de mercado o presentarlo de forma parcial o manipular las ideas, además de contar con un proyecto editorial. "Recientemente, publicamos 'Reflexiones Críticas sobre la Economía Política', un asunto que llamó su atención frecuentemente y que escribió en Praga", precisa la coordinadora científica del Centro. No faltan proyectos comunitarios para establecer vínculos con las escuelas, ya que se busca que "seremos como el Ché", la consigna de los niños cubanos, no sea una mera frase, sino una actitud diaria y consciente, explica Ariet. Entre las actividades que se promueven porque resultan atractivas a los niños y jóvenes están la fotografía, que Ché practicó con calidad, y la informática, de la que fuera promotor en el Ministerio de Industrias. El propósito es que entiendan al Ché y sus ideas y no imitarlo o copiar, lo que seguramente no lo haría muy feliz, sino que hablen de aquel hombre con comprensión de su significado, apunta la investigadora. En esa línea, hay una discusión sobre el uso de la imagen del Ché para recuerdos y otros objetos, que Ariet rechaza desde el plano per! sonal, pero a partir de una crítica objetiva, que examine las motivaciones para esa moda. "Ha habido intentos de hacer del Ché un ídolo distorsionado, un hombre violento y sin escrúpulos, y eso es lo que no podemos aceptar", precisa la coordinadora científica del Centro de Estudios Ernesto "Ché" Guevara. Cuando mataron al "Guerrillero Heroico", los enemigos trataron de desaparecerlo para que la gente lo olvidara, pero ocurrió todo lo contrario y su imagen pasó a ser símbolo de rebeldía y de lucha por la justicia social. O sea, que al principio Ché era un símbolo revolucionario y no un producto de mercadeo, eso debe ser analizado. Los empresarios quieren responder a un deseo de los jóvenes y otros sectores sociales y adoptaron la imagen del argentino-cubano. Un objetivo central era manipularlo y dejarlo sin su contenido revolucionario, con la aceptación de su rostro y el rechazo de sus ideas, pero es un infantilismo tratar de detener las tendencias del mundo moderno. "La clave es no dejar que el Ché sea distorsionado. Este es un asunto complicado y debe abordarse mediante consensos, después de discusiones colectivas y basadas en la ciencia", estima Ariet. En ese sentido, hay que recordar -señala- que ahora es una moda vestir camisetas con la efigie del Ché, pero cuando pase la moda, esas personas se preguntarán quién era ese hombre y ocurrirá un gran salto. "Los símbolos falsos pasan, pero los que establecen los pueblos permanecen y nada en el mundo podrá acabar con ellos", destaca Ariet, quien puntualiza que los pueblos han escogido al Ché como símbolo para acompañarlos en sus luchas.

Novedades en Cubainformación TV

Lecciones de manipulación: Barrio Cuba y Brokeback Mountain: doble rasero en el cine sobre homofobia. Duración: 3,43 http://www.cubainformacion.tv/index.php?option=com_content&task=view&id=1333&Itemid=86
Entrevista al cineasta cubano Humberto Solas. Primera Parte: La memoria colectiva y otras simbologías en el cine de Humberto Solas. Duración: 14,45 http://www.cubainformacion.tv/index.php?option=com_content&task=view&id=1220&Itemid=86
Entrevista al cineasta cubano Humberto Solas. Segunda Parte: El nacimiento de un nuevo cine cubano y el impulso del "cine pobre". Duración: 9,15 http://www.cubainformacion.tv/index.php?option=com_content&task=view&id=1219&Itemid=86
Manifestación en Madrid 26 de Julio. El futuro de Cuba es su Revolución. Duración. 6,43 http://www.cubainformacion.tv/index.php?option=com_content&task=view&id=1455&Itemid=86
Misión Milagro en La Paz (Bolivia). Duración: 2,18 http://www.cubainformacion.tv/index.php?option=com_content&task=view&id=1212&Itemid=86
Mesa de radio: Cuba inaugura en Ecuador centro de la Operación Milagro. Duración: 9,10 http://www.cubainformacion.tv/index.php?option=com_content&task=view&id=1334&Itemid=86
Discurso íntegro de Raúl Castro en Camagüey, en los actos por el 26 de Julio. Duración: 1,01,17 http://www.cubainformacion.tv/index.php?option=com_content&task=view&id=1418&Itemid=86
Mesa Redonda de la TV Cubana: América Latina: deuda social y alternativas. Duración: 1,30,08 http://www.cubainformacion.tv/index.php?option=com_content&task=view&id=1338&Itemid=86
AUDIO - Programa de radio nº 13. Cómo se celebra el 26 de Julio en Cuba. Duración: 58,00 http://www.cubainformacion.tv/index.php?option=com_content&task=view&id=1430&Itemid=66